trotter - posté le 01/09/2023 à 08:59:49. (10750 messages postés) -
Love Between Fairy and Devil, c'est bien, c'est sur Netflix, sinon voilà l'épisode 1 sur Youtube avec sous titres anglais :
Ya beaucoup d'effets spéciaux et de comédie, un peu de baston et pas mal de romance.
C'est une orchidée devenue une déesse mineure amoureuse d'un grand dieu, avec le mal qui se réveille. D'habitude ce genre de série donne tout dans le premier épisode et après on s'emmerde mais là la qualité se maintient.
Bien sûr s'il y a un seul truc chinois à regarder en ce moment c'est Fog Hill of Five Elements :
Dans cette vidéo YouTube, le concept d'anti-natalisme et la philosophie de David Benatar sont explorés. Benatar soutient que le fait d'avoir des enfants est toujours immoral car il cause du tort. L'orateur présente les arguments de Benatar et reconnaît leur force, bien qu'il les trouve personnellement peu convaincants. Ils discutent des différents points de vue sur le fait de causer du tort à un enfant inexistant et soulignent l'argument de l'asymétrie morale présenté par Benatar. L'orateur remet en question la perception de la vie comme intrinsèquement horrible, présente des données d'enquête sur la satisfaction de la vie et soulève des doutes quant à notre capacité à juger de la qualité de notre propre vie. Il discute également de l'argument de la "roulette russe procréative" et présente des résultats d'enquête sur les jugements moraux concernant le risque. Enfin, le conférencier conclut que le pro-natalisme est plus répandu que prévu et conseille de ne pas jouer à la roulette russe avec les enfants existants.
00:00:00 Dans cette section, l'orateur présente le concept d'anti-natalisme et discute de la philosophie de David Benatar. Benatar soutient qu'il est toujours immoral de faire naître un enfant, car il cause inévitablement du tort. Contrairement à d'autres philosophes anti-natalistes, l'argument de Benatar n'est pas ancré dans la misanthropie mais plutôt dans une défense raisonnée. Il présente divers arguments à l'appui de sa thèse, que l'orateur reconnaît comme étant solides et intellectuellement stimulants, bien qu'ils ne soient pas personnellement convaincants. L'orateur, qui est un parent, promet de présenter les principaux arguments de Benatar et de répondre aux critiques, ainsi que de fournir une perspective alternative avant de permettre aux téléspectateurs de se forger leur propre opinion.
00:05:00 Dans cette section, l'orateur explore les implications morales de la naissance d'un enfant atteint d'une maladie incurable et mène une enquête pour sonder l'opinion des gens sur la question. De manière surprenante, plus de 20 % des personnes interrogées estiment qu'aucune faute morale n'a été commise dans cette situation. En outre, bien que la majorité reconnaisse qu'il serait immoral de jouer à la roulette russe avec la vie d'un enfant, il n'y a pas de consensus sur le préjudice moral causé à un enfant dans le cas d'une maladie incurable. Cela met en évidence la complexité de la discussion sur le concept de préjudice causé à un enfant qui n'existerait pas autrement. Cependant, lorsqu'on examine le scénario opposé, dans lequel un couple choisit de ne pas avoir d'enfant tout en sachant qu'il vivrait une vie merveilleuse, près de 98 % des répondants estiment que ce choix est moralement neutre et ne porte pas préjudice à l'enfant potentiel. Cette asymétrie dans les jugements moraux suggère qu'il peut y avoir un devoir de s'abstenir de procréer en raison d'un préjudice potentiel, mais pas de devoir moral de procréer au nom d'un bonheur potentiel.
00:10:00 Dans cette section, l'orateur aborde le principe d'asymétrie morale de David Benatar. Ce principe consiste en deux thèses asymétriques. D'une part, empêcher les expériences négatives est toujours moralement bon, même si cela implique d'empêcher l'existence de l'être qui subit ces souffrances. D'autre part, empêcher des expériences positives n'est pas toujours moralement mauvais, tant qu'il n'y a pas de personne réelle privée de ces expériences. En s'appuyant sur ce principe, Benatar soutient que le choix de ne pas avoir d'enfant est moralement neutre puisqu'il ne cause aucun préjudice ni aucune privation à une personne inexistante. L'orateur présente cet argument comme une position raisonnable fondée sur les asymétries intuitives entre la souffrance évitée et le bonheur évité. Il suggère que ce principe peut séduire ceux qui privilégient la minimisation du mal à la maximisation du bien et conclut en affirmant que, selon l'argument de Benatar, ne pas avoir d'enfants est le choix le plus sûr pour éviter de causer du mal.
00:15:00 Dans cette section, l'orateur examine l'argument de l'asymétrie présenté par David Benatar à l'appui de l'antinatalisme. L'argument établit une implication : si l'on accepte le principe de l'asymétrie, alors on devrait accepter la conclusion de l'anti-natalisme. Cependant, l'orateur suggère que même si l'on accepte l'argument, il ne conduit pas nécessairement à l'adoption de l'anti-natalisme. Il affirme que les principes de l'asymétrie ne sont pas aussi solides qu'ils ne le paraissent à première vue, et que la conclusion de l'anti-natalisme peut être perçue comme déraisonnable et contre-intuitive. L'orateur souligne également que l'argument principal de Benatar tourne autour des aspects négatifs de l'existence humaine, mettant l'accent sur la prévalence de la souffrance et de l'insatisfaction. Cependant, il note que malgré cette vision pessimiste, les gens se disent généralement satisfaits de leur vie.
00:20:00 Dans cette section, l'orateur aborde la subjectivité de la satisfaction à l'égard de la vie et remet en question l'idée que la vie est intrinsèquement horrible, comme le soutient David Benatar. Il présente des données d'enquête montrant que la note moyenne de satisfaction donnée par les personnes interrogées est relativement élevée, ce qui indique que la plupart des gens ont une vision positive de la vie. L'orateur explore également le concept d'adaptation hédonique, qui suggère que les êtres humains ont tendance à adapter leurs désirs et leurs attentes à leur situation, ce qui conduit à un niveau de satisfaction perçu. Il présente en outre une analogie avec des êtres humains élevés dans des conditions horribles, suggérant que leur perspective d'une vie "normale" serait différente de celle d'une personne extérieure. En fin de compte, l'orateur se demande si notre satisfaction à l'égard de la vie est influencée par des attentes irréalistes ou par un manque de connaissances sur les expériences alternatives.
00:25:00 Dans cette section, l'orateur explore l'idée que les humains du futur, en regardant notre existence actuelle, pourraient considérer que nos vies sont loin d'être utopiques et ne valent pas la peine d'être vécues. Cependant, il émet des doutes quant à notre capacité à juger avec précision la qualité de notre propre vie et affirme qu'il est difficile de porter un jugement sur notre propre bien-être. Ils suggèrent également que la comparaison des expériences d'êtres vivant dans des conditions différentes constituerait une base de jugement plus solide. Bien qu'ils trouvent cette expérience de pensée intellectuellement stimulante, ils ont du mal à conclure, comme David Benatar, que notre qualité de vie est fondamentalement mauvaise. Ils expriment leur scepticisme et affirment qu'il est difficile de porter des jugements définitifs sur la qualité de vie globale. Ils critiquent également la position de Benatar, qu'ils jugent paternaliste, et affirment qu'il est contradictoire pour lui de continuer à vivre si la vie est vraiment aussi terrible qu'il le prétend. Dans l'ensemble, le locuteur a du mal à concilier le point de vue pessimiste de Benatar sur la qualité de la vie avec certains aspects de ses arguments et de ses actions.
00:30:00 Dans cette section, l'orateur aborde une variante de l'argument de l'asymétrie connue sous le nom d'argument de la "roulette russe de la procréation". L'idée est que lorsqu'une personne choisit d'avoir un enfant, elle prend un risque moralement condamnable en soumettant potentiellement cet enfant à une vie horrible. Cet argument est basé sur la notion de risque plutôt que sur l'argument de l'asymétrie qui met l'accent sur l'équilibre général entre le bien et le mal dans la vie. L'orateur présente également les résultats d'une enquête sur la question de savoir si le fait de causer un risque constitue en soi un préjudice. Alors qu'une majorité de personnes interrogées pensent que le fait de causer un risque constitue un préjudice, l'orateur trouve cette interprétation étrange et suggère que le fait de blâmer quelqu'un pour le risque qu'il a causé ne signifie pas nécessairement qu'il a causé un préjudice. En outre, l'orateur note une différence significative dans les réponses en fonction du sexe, les femmes étant plus nombreuses que les hommes à penser qu'un préjudice a été causé à l'enfant dans cette situation.
00:35:00 Dans cette section, l'orateur aborde les résultats de divers scénarios présentés dans l'enquête. L'un des scénarios concerne le choix de donner un jouet à un enfant, sachant qu'il a 1% de chances de provoquer une réaction allergique. La majorité des répondants n'a pas trouvé immoral de prendre ce risque, même si 33 % l'ont trouvé immoral. L'orateur s'étonne de ce pourcentage élevé, considérant qu'aucun dommage n'a été causé. Passant aux scénarios liés à la procréation, l'orateur note que si jouer à la roulette russe avec un enfant existant est considéré comme hautement immoral, jouer avec un futur enfant potentiel est jugé moralement neutre par une majorité de répondants. En outre, lorsqu'on leur a demandé si les parents causaient du tort à un enfant en prenant un risque de 1 % de le voir développer une maladie grave, la majorité de ceux qui pensaient que c'était immoral ne considéraient pas que cela causait du tort. L'orateur souligne la grande différence de jugement entre les hommes et les femmes sur ces questions. Dans l'ensemble, l'orateur conclut que le pro-natalisme est plus répandu que prévu.
00:40:00 Dans cette section, le YouTuber discute d'un sondage qui demande s'il est moralement problématique de prendre le risque d'avoir un enfant qui pourrait avoir une vie horrible. Les résultats montrent que la majorité des personnes interrogées pensent qu'il est moralement neutre de prendre ce risque, tandis que seule une petite minorité pense qu'un préjudice a été causé. Le YouTuber trouve ce résultat intéressant, car il suggère que notre aversion morale pour le risque est considérablement affaiblie lorsqu'il s'agit d'enfants à naître. Cela conduit à l'idée que si nous condamnons le fait de jouer à la roulette russe avec des enfants existants, nous devrions également condamner le fait de jouer à la roulette russe avec des enfants potentiels. Bien que les YouTubers ne soient pas personnellement d'accord avec cet argument, ils le trouvent intriguant. Il évoque également son propre point de vue sur la question, affirmant que même s'il était convaincu qu'il est moralement problématique de jouer à la roulette russe avec des enfants potentiels, il ferait de son mieux pour s'assurer que cela ne cause pas de tort à ses propres enfants.
00:45:00 Dans cette section, le YouTuber conclut la vidéo en fournissant des informations sur les options d'abonnement à ses cours en ligne et en exprimant son espoir que les spectateurs les apprécieront. Il s'excuse également que la vidéo soit plus longue que prévu et se dit épuisé par l'écriture du scénario. Il encourage les téléspectateurs à partager respectueusement leurs pensées dans les commentaires et remercie ceux qui le soutiennent par des dons. Le YouTuber termine en déconseillant de jouer à la roulette russe et en soulignant qu'il n'est pas acceptable de le faire avec des personnes qui existent déjà
Ca extrait les sous titres de YouTube pour générer la vidéo. Donc sans sous-titre, pas de résumé... pour l'instant.
trotter - posté le 31/08/2023 à 23:20:15. (10750 messages postés) -
Pour ce testeur c'est Skyrim/Fallout 4 dans l'espace :
Les quêtes secondaires sont nulles (des gens rencontrés 30s avant nous demandent de les aider). C'est un peu buggué. L'IA est débile. Les combats sont pas ouf. Le leveling est naze à base de défi à réaliser genre "tuer 50 ennemis avec le flingue". Il y a du voyage rapide de n'importe où vers n'importe où, même à des années lumières. L'exploration est pas terrible à cause de la génération aléatoire.
L’idée selon laquelle la race n’aurait pas de fondement biologique est une fiction risquant davantage d’exacerber les inégalités de santé que de les résorber.
Robert J. Morris* pour Quillette** (traduction par Peggy Sastre)
(…) Ce refus de reconnaître la race comme une variable importante des soins médicaux va à l’encontre de ce qui m’a été enseigné durant mes études de médecine, il y a de cela plusieurs décennies. À l’époque, lors de la présentation clinique des antécédents et de l’examen physique du patient, l’étudiant en médecine, l’interne ou le titulaire devait toujours commencer sa description du cas en indiquant l’âge, la race et le sexe du malade. Pourquoi ? Parce que l’on pensait ces facteurs précieux pour déterminer la potentielle susceptibilité à telle ou telle maladie et mettre en place un traitement adéquat.
Traitements selon l’origine ethnique
Sauf que le milieu médical est de plus en plus convaincu qu’identifier la race du patient, ou prescrire des traitements en fonction de son origine ethnique, exposerait à l’expression d’un « racisme systémique » chez les professionnels de santé ou à la perpétuation des inégalités de santé.
Jadis, la race avait sa place dans les présentations cliniques précisément parce qu’elle était utile au patient. Aujourd’hui, au sein même de l’enseignement médical, toute mention de la race dans une présentation de cas est fortement déconseillée.
(…) Paru en 2018 dans la revue de l’Association américaine de cardiologie, un article de synthèse rapporte que l’hypertension est plus répandue chez les Noirs que dans d’autres groupes, ce qui signifie que les Afro-Américains ont beaucoup plus de risques d’avoir AVC et autres problèmes similaires.
« Les patients noirs étaient plus susceptibles de savoir qu’ils souffraient d’hypertension, d’être traités pour cela de manière plus intensive, mais moins susceptibles de voir leur tension artérielle contrôlée », peut-on lire. Pourquoi la tension artérielle des hypertendus noirs est-elle plus difficile à contrôler ? Parce qu’ils « ont tendance à davantage retenir le sel et l’eau » que les autres groupes.
« Les patients noirs d’origine africaine ont une hypertension plus sévère et résistante, souvent en raison d’une prédisposition génétiquement déterminée à la rétention de sel et d’eau. » Cela a des conséquences sur le traitement – ainsi, les diurétiques sont recommandés pour le traitement de première intention de l’hypertension chez les Noirs, mais pas pour celui des autres groupes.
(…) Une revue de la littérature menée par un anthropologue biologique démontre qu’il est possible de déterminer la race d’un squelette selon un taux de réussite oscillant entre 57 et 95 % – soit largement plus que ce que pourrait prévoir le hasard. Une technique valide non seulement à partir d’ossements de « Blancs, Noirs et Amérindiens, mais aussi d’hommes hispaniques, chinois et vietnamiens ».
(…) En règle générale, ceux qui affirment que « les décisions de traitement fondées sur la race perpétuent le racisme structurel » ne fournissent aucune donnée factuelle à l’appui de leurs propos. Comme si de tels arguments ne reposaient que sur des considérations idéologiques et ignoraient tout bonnement un nombre toujours croissant de preuves empiriques du contraire.
Pour André Langaney (ancien directeur du Laboratoire d’Anthropologie du Musée de l’Homme) : « En fait, il n’y a pas de marqueur génétique de la race. On n’a jamais pu en isoler un qui soit présent, par exemple, chez tous les “Noirs” et absent chez tous les “Blancs”. Dès qu’on commence à définir une race, en cherchant des critères de classification, on n’en finit plus. Certains sont allés jusqu’à 450 !
trotter - posté le 30/08/2023 à 20:48:50. (10750 messages postés) -
NanakyTim a dit:
Citation:
Ben quand même, c'est bizarre d'en vouloir à quelqu'un avec qui tu es même pas en relation parce qu'elle a d'autres relations, non ?
C'est pour ça que mon avis est mitigé.
D'un côté oui, on se doit rien, y'aura pas d'avenir, donc je devrais en avoir rien à faire.
De l'autre, ça touche quand même mon ego
C'est peut être aussi son attitude qui te dégoute. De la même manière que tu ne serais pas attiré par une fille qui parlerait en permanence de l'OM ou du PSG, une fille qui parle de ses conquêtes ça peut te repousser.
Ensuite peut être qu'inconsciemment tu sais qu'il y a aussi le risque de maladie qui augmente (source 1, 2), ainsi que le risque d'infidélité qui est également multiplié avec le nombre de partenaires (1, 2), mais bon, tu veux pas te mettre en couple avec apparemment.
trotter - posté le 30/08/2023 à 17:53:48. (10750 messages postés) -
Citation:
Je me doutais que quelqu'un en parlerait, c'était effectivement une idée, pour la fin sans combat la plus évidente.
J'imagine qu'on a les cinématiques d'adieu et j'espère qu'on peut envoyer chier les gens
"Irzyka, merci pour cette belle aventure....
-Je t'ai jamais apprécié, je t'ai juste gardé car t'étais fort."
... et que dès qu'on entre dans le truc de batterie, c'est game over.
Peut être qu'on aura droit au récapitulatif final sans Irzyka.
Et selon la puissance de l'équipe, ils arrivent à vaincre le dernier boss ou pas.
trotter - posté le 29/08/2023 à 16:20:47. (10750 messages postés) -
Citation:
Trotter : c'est pas ça l'utilitarisme.
Pourtant :
mesurer une donnée ("le bonheur" ou "la souffrance")
le choix utilitariste se fera en faveur d'une quantité globale « 100 » de bien-être distribuée à 50 % d'une population, plutôt qu'une quantité globale « 90 » de bien-être distribuée à 60 % de cette même population.
à travers le temps L'utilitarisme est une morale conséquentialiste, évaluant une action (ou une règle) uniquement en fonction des conséquences escomptées
et baser ses décisions là dessus. L’utilitarisme est une doctrine éthique qui prescrit d'agir (ou de ne pas agir)
trotter - posté le 29/08/2023 à 16:05:20. (10750 messages postés) -
Même si c'est difficile, le bonheur/l'absence de souffrance peut être atteint intérieurement, sans dépendre d'éléments extérieurs. On peut être heureux en prison par exemple.
Mais même sans cet argument, il est possible que dans le futur notre maitrise technologique fasse que la vie sera largement plus facile et agréable. Et c'est plutôt ce qui est est en train de se produire depuis des siècles.
Citation:
Ceux qui disent que la vie est généralement heureuse, et donc qu'il est moral de faire des enfants (ce faisant on "ajouterait" plus de bonheur au monde, donc, si on suit la logique), j'imagine qu'en toute logique vous incitez partout autour de vous à faire des enfants ?
On est pas tous utilitariste, c'est à dire croire qu'on puisse mesurer une donnée ("le bonheur" ou "la souffrance"), dans tout l'univers et à travers le temps et baser ses décisions là dessus.
Pourquoi à travers le temps ? Car par exemple des millions d'années de souffrance peuvent être compensées par des MILLIARDS d'années de bonheur offerte par un bébé qui va naitre en 2034.
Donc en empêchant les gens de faire des enfants, tu empêches la naissance du bébé de 2034, et les millions d'années de souffrance auront été pour rien. Ah bah bravo !
trotter - posté le 29/08/2023 à 12:29:26. (10750 messages postés) -
C'est pas l'expérience majoritaire que j'ai eu sur Tinder. Si tu as beaucoup de matchs de filles dont le rapport à la sexualité te dégoute il y a peut être un truc à changer dans ton profil ?
Citation:
bien sûr que les gens couchent à droite à gauche
Mouais, dans certains milieux ou certaines personnes peut être mais pour la majorité des gens je dirais un nouveau partenaire tous les 2 ans c'est déjà beaucoup.
trotter - posté le 27/08/2023 à 23:06:53. (10750 messages postés) -
Pareil au fur et à mesure des vidéos.
Rien que quand elle sort les flingues, les teste, constate qu'elle a des balles à l'infini et déduit qu'elle est dans un rêve ou un jeu vidéo c'est trop ouf pour être vrai.
Le coup des nouvelles textures qui indiquent le chemin j'ai du mal aussi. Et le commentaire : "This video may be inaccurate and is made for entertainment."
Mais quand même ce fut une jolie fiction, je serais prêt à regarder ça dans le futur, particulièrement si on peut interagir avec le personnage.
L’un des objectifs du DSA est notamment de lutter contre la désinformation. Pour justifier qu’une information est fausse, les plateformes devront travailler avec des entités expertes désignées comme « signaleurs de confiance ». Ces entités devront œuvrer avec les plateformes pour remonter vers les personnes responsables de la circulation des fake news. Au final, c’est un tribunal judiciaire qui décrètera si une information est fausse. « Si des comptes diffusent des fake news de façon régulière, le DSA permettra aux tribunaux de juger que ces comptes doivent être fermés ».
trotter - posté le 25/08/2023 à 11:00:21. (10750 messages postés) -
J'ai fini Bloody Spell (20h de jeu) :
Sous-boss de fin :
-plusieurs attaques de corps à corps.
-plusieurs attaques à moyenne distance avec un fouet.
-plusieurs attaques à distance avec un luth.
-elle peut créer des pylônes pour invoquer des ennemis.
-elle peut se soigner et soigner les ennemis.
Elles sont toutes super lisibles c'est super cool.
Boss de fin :
-plusieurs attaques au corps à corps.
-balance des astéroïdes.
-créé des mini-trous noirs pour nous aspirer.
-créé des vagues d'énergie à esquiver, de 3 types différents.
-peut ralentir le temps.
Ce sont les mêmes capacités qu'on a nous même, encore une fois bien lisibles.
Le jeu est vraiment cool. A la fin on rencontre le producteur du jeu et on peut se battre contre lui, je me suis fait éclater, il est super rapide avec plein d'attaques magiques :
trotter - posté le 23/08/2023 à 15:38:06. (10750 messages postés) -
Mack a dit:
trotter a dit:
J'ai l'impression qu'il manque des fichiers ou que Easy RPG n'arrive pas à les lire (message d'erreurs comme quoi fichier est manquant, absence de son, images bizarres) mais c'est quand même jouable.
C'est parce que les assets sont en Jap.
Essaie de rajouter :
trotter - posté le 22/08/2023 à 10:54:40. (10750 messages postés) -
Oui j'ai l'impression qu'il ne télécharge les ressources que quand il en a besoin.
On le voit bien dans l'inspecteur :
Sur LAR, le fond du menu est une image différente pour chaque page de menu :
La première fois il y a un délai pour l'affichage, l'image de fond du menu met du temps à s'afficher et on voit "derrière" le menu (la 2e fois, une fois les images en cache, c'est nickel).
Citation:
J'ai peur que ça ne passe pas pour des jeux qui doivent afficher beaucoup d'images en même temps.
Pour un jeu 100% en images il faudrait une map spéciale qui précharge tous les fichiers.
En tout cas plus de problème en terme de nombre de fichiers transmis car il faudrait parcourir 100% d'Aëdemphia pour télécharger les 16.000 fichiers.
trotter - posté le 21/08/2023 à 23:27:58. (10750 messages postés) -
Roi of the Suisse a dit:
Ouais un bouton sur la fiche des jeux compatibles ça serait cool.
Il faut les convertir en web un par un avec EasyRPG ?
C'est super simple :
1) Mettre ces 3 fichiers sur un serveur :
-index.html
-index.wasm
-index.js
2) Pour chaque jeu, le dézipper, y lancer dans son répertoire gencache.exe. Ca génère au niveau de RPG_RT.exe un JSON listant les fichiers du jeu qui sera lu par EasyRPG plus tard.
3) Mettre les fichiers du jeu dans un sous dossier "games/" .
Ca s'exécute côté client donc non... sauf en terme de nombre de fichiers transmis.
Sur le serveur il y a des tas de petits fichiers vu que les jeux sont dézippés. Peut être que vous avez une limite en terme de nombre de fichiers, par exemple chez 1and1 c'est 262 144 fichiers (mais un jeu comme Aëdemphia c'est 16 337 fichiers, donc ya un peu de marge).
Un autre inconvénient est que vous vous exposez encore plus en terme de violation de copyright si un jeu utilise des ressources piratées.
Et il y jouait encore en 1990 ou 1991 puisqu'il l'a cassé de rage à 8 ou 9 ans. Ca colle avec l'arrivée de la Mega Drive fin 1990. Peut être qu'il a fait Atari->Mega Drive donc pas de NES ou Master System. Il faudrait trouver un article où il parle des consoles qu'il a eu quand il était petit.
trotter - posté le 21/08/2023 à 19:02:47. (10750 messages postés) -
C'est sympa c'est original la façon d'explorer les maps, ça me rappelle Sunset Over Imdahl :
On peut pêcher :
J'ai l'impression qu'il manque des fichiers ou que Easy RPG n'arrive pas à les lire (message d'erreurs comme quoi fichier est manquant, absence de son, images bizarres) mais c'est quand même jouable.
Citation:
J'ai bloqué au moment où on doit retirer une pioche de la pierre. Aucun de mes personnages ne parvenaient à la sortir de là.
Dommage, pour moi "Nell", une amie d'enfance a réussi dès le 2e jour.
Je suis tombé sur le monstre qui poursuivait la petite fille et il m'a éclaté alors que je n'avais pas sauvegardé depuis longtemps, j'arrête là.
trotter - posté le 16/08/2023 à 21:04:33. (10750 messages postés) -
American Psycho je conseille grandement le roman même traduit en français. C'est le livre le plus dégueulasse que j'ai jamais lu. Pas parce qu'il est gore ou quoi, mais parce que le personnage taré nous fait entrer dans sa logique. J'ai pas pu le finir tellement c'était hardcore, j'en ai parlé là : https://www.rpg-maker.fr/index.php?page=forum&id=11917&deb=19&ancre=1223721#rech
Sinon, Gardiens de la Galaxie 3 :
Mieux que le 2, moins que le 1.
Des désigns moyennement inspiré, sérieux regardez la gueule de cette affiche :
Des bestioles mignonnes qu'on torture pour nous tirer des larmes, un peu ridicule. Dynamique de l'équipe pas ouf. Je conseille pas.
1965 Un film sur la lutte des races à Singapour, entre les malais et les chinois, qui vivent ensemble alors qu'ils n'ont pas la même culture ni même la même langue. C'est centré sur quelques personnes. Le film est pas ouf, assez lent, assez confus mais bon c'est un tranche de vie historique j'imagine qu'on apprend des choses. Je ne conseille pas non plus.
trotter - posté le 07/08/2023 à 01:35:15. (10750 messages postés) -
Pourquoi ya un stress et une pression ? C'est pas possible de lever le pied un peu ?
C'est pas comme si t'étais médecin en train de sauver une vie, gérer le trafic de train/d'avions, gérer un restaurant ou faire des transactions de millions de dollars.
C'est quoi qui te stresse ? Le stress de faire une fausse note sur scène qui pénaliserait les autres musiciens ? Ou que le public ne t'aime plus ?
trotter - posté le 07/08/2023 à 01:31:31. (10750 messages postés) -
Flash : j'ai bien aimé, pourtant le JdG m'avait dégouté d'y aller. Les effets spéciaux donnent l'impression de voir une cinématique PS3 parfois mais bon. Bien aimé la relation ancien/nouveau Flash, apprentissage des pouvoirs, les apparitions de Batman. Les 2 Barry sont un peu débiles, faut supporter.
Fast & Furious X : Bordel c'était dur, le film est ridicule de A à Z, c'est assez incroyable. Je me rappelle quasi de rien, quelque scènes touchantes de famille, des courses, des explosions. Comme d'hab quoi sauf que le film devient exponentiellement ridicule dans la surenchère. Bien aimé la scène en Italie au début.
Mission: Impossible – Dead Reckoning Partie 1 : des scènes très impressionnantes, pas déçu, quoiqu'un peu longuet peut être, bien aimé l'histoire d'amour et la nouvelle protagoniste. On retrouve les mêmes endroits en Italie que Fast & Furious X d'ailleurs.
trotter - posté le 06/08/2023 à 18:41:13. (10750 messages postés) -
Créacoda a dit:
Question:
Avez-vous déjà rencontré quelqu’un qui a dit:
« Wow! J’ai super hâte d’explorer des centaines de planètes! »
Ça me rappelle les planètes dans No Man’s Sky: tiens voici une nouvelle planète: c’est la même que celle d’avant, mais on appliqué une teinte verte cette fois-là. La prochaine sera bleue. C’est tout généré par un algorithme hein.
Mais bon, comme dit Moretto, il a un public pour ça.
J’attends impatiemment l’open world de Tetris, faudra juste être patient pour compléter sa première ligne.
Ils ont mis en place une technique pour éviter ça :
-Bethesda créé des centaines de lieux intéressants qui peuvent être positionnés sur n'importe quelle planète.
-Quand on arrive sur une planète, un est pris au hasard et positionné sur la planète.
Exemple de lieux intéressants : vaisseau géant écrasé, base abandonnée, prison.
Le joueur Bob arrive sur la planète rouge, il voit un vaisseau géant écrasé. Il va sur la planète verte, il voit une base abandonnée. Il va sur la planète violette, il voit une prison.
Le joueur Bill arrive sur la planète rose, il voit une prison. Il va sur la planète jaune, il voit une base abandonnée. Il va sur la planète orange, il voit un vaisseau géant écrasé.
Point de vue de Bob :
Point de vue de Bill :
Avantage :
-le joueur visite 50 planètes sur 5.000, peu importe dans quel ordre, il aura droit à 50 trucs intéressants.
Inconvénients :
-l'univers sera un peu différent pour chaque joueur, les joueurs ne pourront pas se conseiller d'aller "visiter la planète machin où il y a tel truc". Les quêtes principales seront certainement à des endroits fixes par contre.
-au bout d'un moment, si on explore beaucoup (mais la plupart des joueurs ne le verront pas), on verra les mêmes lieux d'intérêt répétés ou alors plus aucun lieu d'intérêt (ça dépend s'ils peuvent se répéter ou non).
trotter - posté le 05/08/2023 à 22:48:55. (10750 messages postés) -
Perso je vois pas d'enfant, comme la femme est fantôme j'imagine que c'est la perte de la femme plutôt. Noyée dans l'eau après un accident de vélo d'après le reste du dessin.
Ou alors c'est une fille de joie hologramme comme dans Blade Runner 2099 :
trotter - posté le 05/08/2023 à 20:16:50. (10750 messages postés) -
Oppenheimer : début super confus avec 3 timelines sans repère, heureusement ça se calme après 30min. Il y a une intrigue inintéressante les 45 dernières minutes à propos d'un procès ou je sais pas quoi présentée comme si c'était passionnant et malin mais bof. Des histoires de cul/coeur survolées. Pas mal, bons acteurs, sympa de voir un groupe s'organiser et construire quelque chose mais bon je me suis ennuyé la moitié du temps.
trotter - posté le 04/08/2023 à 16:03:35. (10750 messages postés) -
Citation:
où la science/la médecine ne donne pas encore réponse à tout
Elle ne donnera jamais réponse à tout. Mais c'est pas grave ! C'est ça qui est fun, ce serait trop triste une science figée, t'imagine !
Citation:
Ça m'angoisse de voir que tout le monde s'en fout de la vérité.
Tu n'auras pas "la vérité" par la science.
Tu auras une vérité, sur UN protocole expérimental, potentiellement biaisé par X ou Y. Pour t'approcher de la vérité (sans l'atteindre !) il faudra encore plus d'expériences.
Qui a raison ? LES DEUX ONT RAISON. Dans tel protocole expérimental, il a été observé que c'est bénéfique. Dans tel autre, il a été observé que ce n'est PAS bénéfique.
Quelle attitude adopter vis à vis des pauses ? Celle qui fonctionne pour toi.
trotter - posté le 04/08/2023 à 12:54:37. (10750 messages postés) -
Citation:
Attention avec le discours "ça a marché sur moi". Avec ça on peut justifier tout ce qui rentre dans l'effet placébo et/ou guérison naturelle. Homéopathie, sylvothérapie, magnétisme, prières...
Pour pouvoir dire qu'une médecine a un effet positif réel, il faut tester la pratique face à un groupe témoin (qui ne reçoit qu'un placébo). Il faut mesure un écart significatif entre le groupe témoin et le groupe qui a reçu la médecine.
Encore une fois : la majorité des choses qu'on vit ne sont PAS reproductibles. Ce n'est pas pour autant que c'est faux, même si ça s'oppose à une étude scientifique.
Il y a quelque chose, dans mon cas personnel, qui marche, que la science n'a pas encore expliqué.
C'est une grave erreur de moquer les expériences personnelles et d'y opposer les preuves académiques, à mon avis ça éloigne encore plus les gens de la science.
Exemple de moqueries :
Au lieu de poster des gif débiles, ce professionnel de santé pourrait répondre que c'est intéressant, avoir l'humilité de dire qu'on ne connait pas tout, qu'il est curieux du mécanisme exact (placebo ?), mais qu'il faut quand même se méfier et mieux faire des examens/voir des spécialistes avant d'essayer des solutions non-prouvées.
Dans l'idéal on étudierait toutes ces anecdotes personnelles mais on a pas les moyens suffisants. Je pense que s'en moquer n'est pas une bonne solution.
trotter - posté le 04/08/2023 à 10:25:09. (10750 messages postés) -
Rots si Paul Boudin à 4h du matin te mets une patate dans la rue, qu'il nie, que personne n'a rien vu, c'est tout de même ton expérience. Pour toi elle est vraie, même si ce n'est pas scientifiquement prouvable, même s'il n'y a pas d'explication.
Citation:
la mise en scène truquée ou le mensonge (récit enjolivé) du témoin sont des hypothèses infiniment plus probables
Paul Boudin est quelqu'un de respecté par la communauté qui n'a jamais rien fait de mal. Une erreur ou un mensonge de ta part est jugé plus probable.
Pourtant, toi tu sais qu'il t'as foutu un coup de poing !
On peut tirer des conclusions des expériences personnelles, mêmes les non-analysables scientifiquement (99% de ce qu'on vit), qui vont même à l'encontre de méta-analyses-d'études-randomisées-en-double-aveugle sans être irrationnel.
trotter - posté le 03/08/2023 à 11:10:34. (10750 messages postés) -
D'un autre côté s'ils ont vu une preuve de réincarnation de leurs yeux, est-ce que tu appelles ça encore une croyance ?
Pour toi qui est extérieur tu as sans doute besoin d'une méta analyse pour que le niveau de preuve soi-suffisant pour te convaincre.
Mais pour celui qui l'a vu, c'est très solide. Il a vu l'enfant parler comme son ancien ami, il l'a vu reconnaitre des gens, des objets de son passé.
Citation:
alors que les moines arrivaient à proximité, l’enfant en question trébucha sur une pierre et, sur le point de tomber, tendit la main au lama qui était à ses côtés, en l’appelant : « Yéshé, aide-moi ! » C’était bien le nom de ce lama. Cela lui fit un choc, mais sur le moment il ne dit rien. Puis les voyageurs furent invités à partager le repas de la maisonnée. Or, il se trouvait que ce lama Yéshé portait à son cou un reliquaire contenant une mèche de cheveux. En apercevant ce reliquaire, l’enfant s’exclama : « Oh ! mais ce sont les cheveux que je t’ai donnés ! » C’était en effet une mèche de cheveux que le précédent sage lui avait donnée. Cet enfant est devenu Dudjom Rinpotché, qui mourut en 1987 et fut l’un de mes principaux maîtres spirituels.
Citation:
Trulshik Rinpotché lut à l’enfant le nom qui lui avait été donné et envoyé par le Dalaï-lama, lui offrit des vêtements d’apparat et accomplit en son honneur un rituel de longue vie. Le dernier jour, il y eut une fête au cours de laquelle le maître qui officie donne aux participants une substance consacrée. On s’attendait que Trulshik Rinpotché, qui présidait la cérémonie, distribuât cette substance. Or, l’enfant, voyant Trulshik Rinpotché commencer, décida de la donner lui-même — bien qu’il n’eût alors que deux ans et demi. Très calmement — la scène a bien duré cinq minutes — il fit venir sa mère, lui donna une goutte de la substance, puis le petit-fils de Khyentsé Rinpotché, qu’il connaissait, et une vingtaine de personnes dont il n’avait entendu le nom qu’une ou deux fois. En les appelant, il prononça distinctement les noms de plusieurs de ces personnes qui lui avaient été présenté la veille.
J.F. — À deux ans et demi ! Mais à cet âge on parle à peine !
M. — À peine, mais suffisamment pour appeler les gens par leur nom.
J.F. — Cela suppose chez ce sujet particuler une mémoire phénoménale !
M. — Par exemple, la veille, alors que je tenais l’enfant dans mes bras, je lui avais désigné mon ami Luc, un ingénieur français, lui aussi disciple de Khyentsé Rinpotché, qui construit en ce moment l’un de nos monastères en Inde, et j’avais dit, un peut en plaisantant : « Ça, c’est Luc, qui construit votre monastère à Bodhgaya. » Le lendemain, il a appelé Luc par son nom et il lui a donné cette bénédiction, Bon, cet enfant est particulièrement éveillé et doué d’une mémoire étonnante. Mais le plus étonnant n’est pas là.
Dans l’assistance, environ une centaine de personnes, se tenait un groupe de Bhoutanais qui venaient d’arriver de chez eux — trois jours de marche depuis la frontière népalaise — et dont l’un était un vieux serviteur du défunt Khyentsé Rinpotché. Après que l’enfant eut béni tous ceux qui se tenaient à proximité, et qu’un moine lui eut demandé : « Bon, maintenant... c’est fini ? » il répondit : « Non, non » et pointa du doigt vers quelqu’un dans la petite foule. Un autre moine se déplaça pour désigner différentes personnes assises dans la direction qu’indiquait l’enfant — « Celui-là ? Celle-ci ? Celle-là ? » —, jusqu’à ce qu’il parvienne auprès du vieux serviteur bouthanais, et que l’enfant dise : Oui ! Lui ! » On fit donc s’approcher le vieil homme, et l’enfant, perché sur son trône, lui donna la bénédiction. L’homme fondit en larmes.
J.F. — C’est très frappant. Je dirai cependant encore une fois que ce genre d’événements ne constitue des preuves que quand on le vit soi-même. Même si on croit à l’absolue sincérité des témoins.
M. — Je comprends bien. Je ne relate ce cas que parce que je l’ai vécu. Je me permets de citer cet événement, car il porte pour moi un poids de vérité plus grand que ce dont j’ai simplement entendu parler.