Bon courage pour l'installer par contre... j'ai l'impression que c'est le meilleur tuto + le gars donne les fichiers tout prêts (sauf la rom mario 64), par contre le tuto est à moitié en allemand :
https://www.youtube.com/watch?v=8O_NO2O_irE
trotter - posté le 19/01/2025 à 16:47:33. (10977 messages postés) -
Pour info Saheyus Flux Dev tourne très bien sur un pc avec 64Go de ram et 8 de vram.
Il galère un peu plus sur ma machine principale avec 32Go de ram et 12 de vram mais flux1-dev-Q5_0.gguf est quand même utilisable (et les loras fonctionnent). Par contre ça met quand même bien dans les 1min pour une image en 768 grosso merdo donc à oublier pour du temps réel.
trotter - posté le 19/01/2025 à 16:29:43. (10977 messages postés) -
Intéressant, par contre utiliser CLIP pour vérifier les résultats pour moi c'est une source de limitation car il y a des choses que CLIP ne peut pas décrire. Si on veut faire vraiment des trucs nouveaux ça marchera pas.
Sur l'idée globale pour moi il vaut mieux faire de l'inpainting et ça marche déjà très bien.
L'IA propose, on modifie, l'IA propose, on modifie, l'IA propose, on modifie... et résultat en 10min pour "un ordinateur portable *sur* un ours en peluche" :
Alors que là avec leur technique : L'IA propose, CLIP vérifie, l'IA propose, CLIP vérifie, l'IA propose... autant vérifier soi-même.
Si on a un truc très précis en tête vaut parfois mieux un petit schéma (inpainting, controlnet) qu'un pavé de texte à mon avis mais bon pourquoi pas. Leur approche me semble assez logique. Mais limité par le truc qui vérifient que l'image est bonne (l'équivalent d'un Process Reward Model)+les limites de ce qu'on peut décrire par texte.
trotter - posté le 19/01/2025 à 00:31:39. (10977 messages postés) -
Les preuves photographiques/en vidéo vaudront moins mais finalement les photo existent depuis 200 ans, une paille dans l'histoire humaine et dès le début c'était déjà trafiqué.
Peut être qu'une video compromettante ne permettra plus de faire chanter quelqu'un car il aura juste à crier au deep fake.
trotter - posté le 17/01/2025 à 23:24:00. (10977 messages postés) -
Dans l'intimité de Marie Un manga exceptionnel sur un mec dans le corps d'une femme.
C'est très réaliste, aussi bien physiquement que mentalement, ya beaucoup de pov. Ca parle pas mal des relations humaines, les problèmes qu'il a à s'adapter aux codes sociaux en tant que fille etc.
Alors que d'habitude dans ce genre de manga le gars devient une fille puis en 3 chapitres c'est bon il est habitué.
Edit:ouais bon après le tome 3 ça devient un peu hentai louche finalement mais ça se calme après.
Tokiwa Kitareri
Des étudiants qui combattent des démos, c'est pas mal mais bon c'est pas Dandadan non plus.
Par l'auteur de Kenichi Le Disciple Ultime que j'adore et 008 (Kenichi=10/10, Tokiwa Kitareri=7.5/10, 008=5/10).
Les 3 premiers chapitres du manga semblent traiter de 3 héros différents, au début j'ai cru que c'était une compilation de petites histoires tellement ils semblent pas liés, mais ils se rejoignent au 4e chapitre, c'est assez cool de pas vraiment avoir un héros assigné (pendant quelques chapitres au début en tout cas).
Tenkaichi
Les auteurs sont partis dans un délire où ils font s'affronter les guerriers des environs du 17e siècle. Pour le coup il n'y a aucun héros, ils essaient de traiter tous les persos de la même façon pour que le lecteur ne prédise pas le gagnant à chaque fois.
Néanmoins c'est un peu comme regarder des gens jouer à un jeu de baston, c'est pas passionnant...
Dark Ages Dans un univers Marvel, pouf, l'électricité ne marche plus.
Du coup Iron Man se construit une armure à vapeur, Spider-Man des lance-toiles mécaniques et, euh... c'est un peu pourri pour être honnête. Ya une grosse ellipse immédiatement donc on les voit pas s'adapter au monde, puis ils combattent des méchants super intelligents aux motivations vraiment débiles, c'est tellement débile que l'auteur est obligé de mettre un méchant qui réagit ("mais en fait ton plan c'est ça ? c'est débile ? -Haha, tu es trop intelligent.").
Guarding The Globe Un spin off d'invincible qui suit un groupe de super héros. Ca se lit mais c'est pas ouf, c'est assez plat, je mets même pas d'image tiens.
trotter - posté le 17/01/2025 à 20:07:36. (10977 messages postés) -
Les mecs derrière AI Dungeon ont entrainé une IA (Nemo 12B) spécialement sur des scénarios de game over pour ajouter de la difficulté lors des roleplays :
Mais en fait récemment le co-créateur de Twin Peaks dit qu'il a carrément rencontré des gens de Nintendo pour la création de Link's Awakening et leur a filé des idées :
https://x.com/mfrost11/status/1656046091891032082
trotter - posté le 11/01/2025 à 23:28:29. (10977 messages postés) -
Excellent les maps sont magnifiques et les images aussi, le monde a l'air intriguant (je m'attendais pas à voir d'étoiles avec ta description, me demande ce que c'est - des trous dans le béton peut être ?), bon courage.
Manquerait plus qu'on soit soi-même dans nos relations avec les autres, et puis quoi encore?!
Faudrait pas que "reste toi même" veuille dire "ne change rien, ça n'a jamais marché mais ne te pose pas de question, n'essaie rien de nouveau, reste comme ça". Le gars peut être pleurnichard, malodorant, vulgaire, avec un humour qui rabaisse les autres, mais surtout faut qu'il reste lui-même.
Mark Manson (auteur de "l'art subtil de s'en foutre") avait également du également du "soyez vous-même" dans son livre précédent "l'art subtil de séduire", néanmoins ses conseils sont, en gros, de s'accepter, de s'améliorer soi-même avant d'être soi-même.
QUAND ILS ENTENDENT le mot « vulnérabilité », la plupart des hommes ont tendance à l’associer à l’idée de faiblesse. En général, on leur a appris à contenir leurs émotions, à ne pas montrer leurs failles et à dédaigner toute forme d’introspection.
En plus, la plupart des conseils de drague encouragent à se montrer froid et distant, catégorique dans ses jugements, voire très critique à l’égard des femmes.
Les hommes voient donc d’un mauvais œil l’idée d’exposer sa vulnérabilité et d’accueillir ses émotions.
Ce simple mot, « vulnérabilité », te met peut-être mal à l’aise ou te laisse dubitatif. Mais ne t’inquiète pas, je ne vais pas te demander de donner la main à des hippies autour d’un feu de camp ni de pleurer devant des cristaux ou de raconter des histoires sur ton animal totem.
Je voudrais que tu envisages la vulnérabilité de façon plus générale, en songeant à la vulnérabilité émotionnelle, mais aussi physique et sociale.
Accepter sa vulnérabilité ne signifie pas seulement être prêt à faire part de ses peurs et de son manque d’assurance. C’est aussi se mettre dans une situation où l’on risque d’être rejeté : raconter une blague qui ne fera peut-être pas rire, défendre une opinion qui pourrait ne pas plaire, se présenter à un groupe de personnes qu’on ne connaît pas, dire à une femme qu’elle nous plaît et qu’on voudrait la revoir. Tout cela exige de prendre des risques, de s’exposer.
C’est en ce sens que la vulnérabilité est une force. Une force aussi douce que subtile, et même une forme de courage. Un homme capable d’exposer sa vulnérabilité transmet le message suivant : « Je me fiche de ce que vous penserez de moi. Voilà qui je suis, et je ne veux pas être quelqu’un d’autre ! » Il prouve ainsi son statut et son absence de dépendance.
Quand on évoque la notion de vulnérabilité, la plupart des gens s’imaginent un homme recroquevillé dans un coin, suppliant les autres de l’accepter ou de ne pas le blesser. Mais il s’agit là de capitulation ou de faiblesse, pas de vulnérabilité.
Imaginez deux hommes. L’un se tient droit, la tête haute. Il regarde ses interlocuteurs droit dans les yeux. Il dit ce qu’il pense et reste à l’aise si les autres ne sont pas d’accord avec lui. Quand il se trompe, il n’y prête pas attention et présente ses excuses si nécessaire. S’il n’est vraiment pas doué pour quelque chose, il l’admet sans souci. Il n’a pas peur d’exprimer ses émotions, même si cela implique de se prendre des râteaux. Le cas échéant, il passe son chemin et cherche d’autres personnes qui l’aimeront comme il est.
L’autre homme est recroquevillé, le regard furtif. Il est incapable de regarder quelqu’un dans les yeux sans se sentir gêné. Il se donne un air décontracté mais reste toujours distant. Il joue un rôle. Il évite de dire des choses qui pourraient contrarier et ment parfois pour éviter le conflit. Il essaie toujours d’impressionner. Quand il commet une erreur, il tente de reporter la faute sur quelqu’un d’autre ou de la cacher. Il dissimule ses émotions. Il sourit en disant que tout va bien, même quand il se sent mal. Il a une peur bleue d’être rejeté. Quand cela arrive, il a du mal à encaisser le coup. Il se met en colère et cherche désespérément un moyen de (re)gagner l’affection de la personne en question.
Lequel de ces deux hommes est le plus fort ? Lequel est le plus vulnérable ? Lequel est le mieux dans sa peau ? Lequel plaît le plus aux femmes ?
[...]
Peut-être as-tu peur d’aborder les filles qui te plaisent ou de leur proposer de les revoir. Peut-être retombes-tu invariablement dans les mêmes sujets de conversation ennuyeux, car ils sont assez superficiels pour ne pas risquer de choquer ou d’énerver qui que ce soit. Peut-être as-tu du mal à t’affirmer et à exprimer tes désirs. Peut-être as-tu tendance à cacher ton attirance sexuelle et à devenir nerveux quand les autres dévoilent la leur. Peut-être es-tu coincé dans un travail ou dans une vie que tu n’aimes pas vraiment, que tu as choisie parce que tes proches te disaient que c’était une bonne idée et que tu ne voulais pas les contrarier ni les décevoir. Porter de beaux habits te rend mal à l’aise, tu as peur de sourire à des inconnues, tu n’oses pas draguer parce que tu flippes à l’idée de te prendre un râteau.
Tout ça, c’est le symptôme d’un problème bien plus profond : l’incapacité à exposer sa vulnérabilité.
Beaucoup d’hommes, y compris moi-même, ont été élevés dans l’idée qu’il ne fallait pas exprimer librement ses émotions. Quelle qu’en soit la raison – situation familiale, trauma infantile, incapacité des parents à exprimer leurs propres émotions –, nous avons pris l’habitude de tout retenir et refouler. « Ne contredis pas les autres. Ne te fais pas remarquer. Ne fais jamais rien de fou, de stupide ou d’égoïste », voilà en substance ce que l’on nous a appris.
J’étais comme ça. Pendant toute ma jeunesse, j’étais terrifié à l’idée qu’on puisse ne pas m’aimer. Si je pensais que quelqu’un – garçon ou fille – me détestait, je n’en dormais plus. Dans tous les domaines de ma vie, je cherchais avant tout à plaire, à dissimuler mes défauts et à protéger mes arrières en accusant les autres. Inutile de préciser que j’avais peu de succès auprès des femmes. Et quand j’ai enfin réussi à sortir avec une fille, elle m’a largué pour se mettre avec un mec vraiment capable de s’exprimer.
Crois-moi, entrer en contact avec les femmes en exposant sa vulnérabilité – sans jouer de rôle ni tomber dans le narcissisme – t’aidera à nouer des relations qui seront parmi les meilleures de ta vie.
C’est la vulnérabilité qui permet de séduire et d’établir des liens vraiment humains. Comme l’explique le psychologue Robert Glover, « les êtres humains s’attirent par leurs aspérités et leurs imperfections ».
Révèle donc tes aspérités. Ne cherche plus à être parfait. Montre-toi, exprime-toi sans retenue. Accepte d’être rejeté ou blessé. Dis-toi que tu es plus fort que ça. Si tu te prends un râteau, passe simplement à autre chose. Et quand tu trouveras une femme qui t’aime pour ce que tu es (et tu la trouveras, je t’assure), savoure simplement les moments passés avec elle !
Mais ce n’est pas du jour au lendemain qu’on peut s’ouvrir à la vulnérabilité, apprendre à accepter ses émotions et ses défauts et à s’exprimer sans retenue. En fait, ce livre est une sorte de guide pratique de la vulnérabilité. Il te donne la marche à suivre, et tu verras que c’est parfois difficile.
« HÉ ! CHÉRIE ! Je peux te baiser ? »
J’écoutais, horrifié, mon ami crier ces mots à toutes les jolies filles qui passaient près de nous.
Nous étions en 2006, j’étais encore étudiant. Pour tenter de résoudre mes problèmes avec les filles, je m’étais mis à traîner avec des garçons plus doués que moi. J’étais jeune, naïf et dépendant. Je croyais encore qu’il fallait jouer un rôle pour avoir du succès auprès des filles. Mon plan, c’était de sortir avec ces acteurs de génie, d’étudier ce qu’ils leur disaient, puis de les imiter.
Et voilà qu’arrive Matt et son « Je peux te baiser ? ».
Je l’avais rencontré par le biais d’un ami. Sa réputation n’était pas à faire. Il avait des tatouages sur les bras, jouait dans un groupe de rock et sautait les filles à tout-va. Je l’avais croisé par hasard une ou deux semaines plus tôt. C’était la première soirée que je passais avec lui.
Évidemment, sa phrase d’approche ne rencontrait pas un succès phénoménal auprès des filles. On peut même dire que ça les faisait toutes fuir. Matt était complètement saoul et je commençais à me demander ce que je faisais avec lui.
C’est là que quelque chose d’étonnant s’est produit. Quelques filles ont ri. Puis une autre fille est venue nous parler.
Inutile de préciser qu’aucun de mes manuels de drague n’expliquait comment enchaîner sur une conversation normale après une telle entrée en matière. Je me tenais donc là, gauche et perplexe, attendant de voir comment Matt allait s’en tirer.
Et voilà que Matt lui annonce qu’il va lui « lécher le cul ce soir ».
Là, je me suis dit qu’il était vraiment temps de m’en aller. Je n’avais aucune envie d’être associé à ce fou qui allait bientôt se faire expulser du bar ou, pire encore, être arrêté pour harcèlement sexuel.
Mais un quart d’heure plus tard, Matt m’a retrouvé et, à ma grande surprise, il était encore avec la fille en question. Il avait passé un bras autour de sa taille et elle affichait un sourire radieux.
« Salut mec ! On va chez elle. C’était cool cette soirée tous les deux, faudra qu’on se refasse ça. »
Je suis resté seul au bar à essayer de comprendre ce qu’il venait de se passer. C’était complètement insensé, totalement contraire à tout ce que je croyais savoir des femmes.
Cette soirée reste à ce jour l’une des plus grandes leçons de séduction qu’on m’ait jamais donnée.
Ce n’est bien sûr pas le « Je peux te baiser ? » que j’ai retenu. Cette entrée en matière ne me plaît toujours pas et, rétrospectivement, je me dis que mon ami Matt était en fait très narcissique.
Mais j’ai alors appris l’essentiel : quoi qu’on dise à une femme, l’intention qui se cache derrière les mots est bien plus décisive que les mots eux-mêmes.
On peut dire les trucs les plus grossiers à une femme (ou les plus drôles, c’est une question de point de vue), si le message sous-jacent est « Je me fiche que tu te moques de moi ou que tu t’enfuies, voilà qui je suis, c’est à prendre ou à laisser ! », cela signale un niveau d’investissement très bas et un haut degré de vulnérabilité.
Faut-il en conclure qu’on attire les filles dans son lit en lançant ce genre de propositions grotesques ? Pas toujours. Sans doute même pas souvent. Mais c’est déjà mieux que rien.
Faut-il en conclure que tu devrais tenter ce genre d’entrée en matière ou d’autres commentaires dans la même veine ? Probablement pas. Tu devines pourquoi ?
La plupart des mecs pensent qu’on peut draguer les filles en feignant l’indifférence ou la décontraction. Des livres entiers sont fondés sur cette idée de séduire les femmes sans montrer qu’on s’intéresse à elles.
Le simple fait d’écrire ces mots m’épuise. Car c’est beaucoup de travail pour pas grand-chose.
J’en ai déjà parlé, cette façon de jouer un rôle fonctionne parfois, mais c’est une solution à court terme qui demande beaucoup de temps et d’efforts. C’est un très mauvais investissement. Autant investir en soi-même, puis laisser son identité et son honnêteté faire le travail à sa place.
Pourquoi apprendre à faire semblant d’être décontracté alors qu’on peut apprendre à l’être vraiment ?
En plus, courir les filles en faisant semblant de ne pas s’intéresser à elles demande une attention de tous les instants. On a vite fait de se planter. C’est un jeu qui ne pardonne pas, et qui n’est finalement pas très amusant. D’autant que toute l’attention et tous les efforts qu’on déploie nous rendent paradoxalement plus dépendants et plus investis, donc moins séduisants.
Les hommes évitent de montrer honnêtement leur intérêt de peur de sembler trop investis, et donc dépendants. Ils pensent qu’une phrase comme : « Tu es mignonne, j’aimerais passer un peu de temps avec toi » véhicule un message du genre : « Salut, je suis tellement désespéré que je vais te balancer en pleine figure tous mes désirs et te supplier d’y répondre. »
Rappelle-toi, ce qui compte, ce ne sont pas les gestes et les mots eux-mêmes, mais les intentions qui se cachent derrière. Or un homme qui se déclare honnêtement véhicule plein de messages attirants.
Car quand il exprime franchement son attirance, le message sous-jacent est plutôt : « Ça m’est égal si tu me rejettes, sinon je ne t’aborderais pas comme ça. Je suis assez bien dans ma peau pour tenter ma chance. »
C’est logique. S’il avait eu peur de se prendre un râteau, il n’aurait pas été aussi honnête. Il aurait feint le désintérêt !
En exprimant honnêtement ses intentions, en prenant des risques, en se rendant vulnérable face à elle, il prouve qu’il n’est pas dépendant, ce qui est en soi attirant. Le fait qu’il montre son désir aura même plutôt tendance à l’exciter.
Rappelle-toi que les paroles elles-mêmes n’ont aucune importance, c’est l’intention qui compte. Toujours. Sans exception. Tu pourras sortir les meilleures répliques du monde, si tu les dis parce que tu cherches désespérément la reconnaissance, les femmes le sentiront tout de suite.
Voilà pourquoi les phrases toutes faites ne servent à rien. Je pourrais te vendre mes cent meilleures répliques, mais pas mes intentions ni mon assurance. Tu dois les développer par toi-même. C’est comme ça que tu pourras dire des choses qui n’appartiennent qu’à toi, qui sont fidèles à toi-même et à personne d’autre.
Poursuivons avec mon expérience d’étudiant. Après ma soirée avec Matt, j’ai tenté le coup des « Je peux te baiser ? » Et devine ce qui s’est passé ?
Rien. Je n’ai récolté qu’une série de moues dégoûtées, pas un seul sourire.
Pourquoi ? Parce que je lançais la phrase en espérant obtenir quelque chose. J’étais encore bien trop investi dans la façon dont les femmes réagiraient. Je n’avais pas encore compris à l’époque. Peu importe ce que je disais ou ne disais pas, elles sentaient que leur réaction me tenait à cœur. Ça ne pouvait pas marcher. Je suis juste passé pour un gros lourd.
[...]
Songe au mec lambda qui paie des verres aux jolies filles dans les bars. Pourquoi les offre-t-il ? Pour qu’elles restent parler avec lui. Quand il leur dit qu’elles sont belles et qu’elles lui plaisent, pourquoi fait-il ces compliments ? Pour qu’elles l’aiment. Et pourquoi les emmène-t-il dans des restaurants chics et des bijouteries ? Pour qu’elles soient impressionnées et n’aient pas envie de le quitter.
Ce ne sont pas des compliments ni des cadeaux qu’il fait, mais plutôt des outils de négociation qu’il utilise pour conclure son affaire. Les termes du contrat sont peut-être implicites, mais il s’agit ni plus ni moins d’une transaction. À chaque fois qu’il donne, c’est pour obtenir quelque chose en contrepartie. Les verres ne sont pas offerts sans condition, mais pour que la fille reste parler avec lui. Quant aux compliments, ils sont faits pour qu’elle se montre affectueuse en retour.
Et quand les femmes ne lui témoignent pas de reconnaissance ou ne s’intéressent pas à lui, il se met en colère et les accuse d’être des allumeuses, des filles intéressées, vénales et menteuses. Finalement, le « chic type » et le narcissique se ressemblent beaucoup. L’un ne fait que donner. L’autre ne fait que prendre. Mais les deux cherchent désespérément l’approbation de l’autre.
Il s’agit là d’une forme subtile de manipulation, donc de malhonnêteté. Là encore, les femmes assurées ne resteront pas longtemps avec un homme qui se comporte ainsi. Elles auront vite fait de comprendre son petit manège. En fait, il ne plaira qu’à des femmes superficielles prêtes à troquer leur affection contre des biens matériels – des femmes sans cœur qui répriment leurs émotions autant, sinon plus, que l’homme qui les achète.
Un homme séduisant exprime son intérêt de façon inconditionnelle. Il n’attend rien en retour. Quand une femme lui montre de l’intérêt, c’est donc un vrai cadeau qu’elle lui fait.
Pour être authentique, l’honnêteté doit être inconditionnelle. La vérité n’est vérité que si elle est offerte sans espoir de contrepartie. Quand je dis à une fille qu’elle est belle, je n’attends pas qu’elle me donne quoi que ce soit en échange. Le fait qu’elle me rejette ou qu’elle tombe amoureuse m’importe peu sur le moment. L’essentiel, c’est que j’exprime honnêtement mes sentiments.
Citation:
Je pense qu'au final c'est un peu ça qui me chicote. C'est l'approche dogmatique du truc: 'N'essayez pas d'être vous-même, vous devez suivre ma recette sinon ça ne marchera pas!'. Il y a bien des manières de séduire.
Oui c'est le risque. A mon avis il ne faut pas suivre une méthode comme un bourrin, il faut croiser les sources mais surtout de pratiquer. Faire naître une relation amoureuse et surtout la faire vivre derrière c'est pas instinctif pour beaucoup de gens, ça me parait normal d'apprendre (par expériences perso ou via l'expérience des autres). Il y a des tas de ressources là dessus, certaines dogmatiques et d'autres plus nuancées.
trotter - posté le 10/01/2025 à 10:56:43. (10977 messages postés) -
La Redpill (en relation h/f) c'est la recherche de la meilleure stratégie sexuelle pour l'homme. L'embryon de ça (1990s) c'était juste des conseils de séduction.
"séduction" c'est pas forcément négatif, ça ne veut pas forcément dire "mentir et manipuler pour coucher".
Il y a des mecs qui n'ont aucune idée de comment se comporter et peuvent être très timorés par peur de mal faire ou au contraire trop entreprenants au point que ça soit répréhensible.
Exemple :
-Comment détecter que la personne en face est intéressée ?
-A partir de quand proposer le rencard ?
-Quels sont les meilleurs moment pour un rencard ?
-Qui paye ?
-Comment complimenter ?
-Comment et quand faire le premier bisou ?
-Faut-il se dévoiler entièrement ?
Evidemment pour chacune de ces questions "ça dépend" (des personnes, du contexte, de la culture...). Néanmoins ya des grandes lignes.
C'est mieux de pratiquer plutôt que de lire des théories mais beaucoup de mecs ont peur.
Pour revenir à la Redpill, pourquoi c'est repoussoir :
-"séduction" négativement connoté.
-conseils qui deviennent des théories voir des préceptes qui essentialisent les femmes.
-conseils souvent à l'encontre des conseils mainstream type "soi toi-même".
-certaines personnes pensent que les conseils de séduction vont venir "fausser" leur choix de partenaire (car il deviendrait un menteur en suivant ces conseils).
-beaucoup fréquenté par des geeks qui préfèrent lire des théories plutôt que de pratiquer et donc ça se barre dans le n'importe quoi de l'imaginaire.
trotter - posté le 08/01/2025 à 09:43:50. (10977 messages postés) -
Citation:
Et bien sûr, je ne me base pas uniquement sur un simple commentaire de sa part, je fais juste la remarque que ce qu'elle dit, c'est ce que je disais précédemment. A savoir : les hommes et les femmes ne recherchent pas la même chose. La femme recherche le statut social, l'homme la beauté.
Trop simpliste car il n'est pas rare (hommes comme femmes) :
A) de préférer un partenaire moins beau mais moins prise de tête / avec qui on s'entend mieux / qu'on a pas honte de sortir.
B) de désirer temporairement une personne très sexy alors qu'on est déjà avec A).
Pour parler dans tes termes, une femme mariée avec un riche au status social élevé (et qui ne couche jamais avec lui) pourra se taper un minot musclé de 20 ans venu nettoyer sa piscine (je l'ai vu dans un reportage sur internet, sur report-hub).
Et pareil pour les hommes, entre une bimbo refaite à gros seins ultra sexy mais égoïste et bête comme ses pieds et entre une femme moins sexy mais intelligente et bienveillante, préférer la seconde.
Pour la beauté qui permettrait de changer de classe sociale j'ai de gros doutes.
A study of a U.S. national sample of females ages 25 through 40 reveals a moderate association of education, and a weaker association of physical attractiveness, with husbands' occupational prestige. Consistent with earlier findings reported by Elder, the contribution of education to females' status attainment through marriage seems to vary positively with level of origins and the contribution of attractiveness seems to vary inversely, except that the apparent effects for farmers' daughters resemble those for high-origin rather than low-origin females. The contribution of attractiveness seems almost nil for both farmers' daughters and high-origin females and does not seem to vary systematically by age. Among daughters of low-manual workers, education and attractiveness seem to interact, so that each enhances the utility of the other. It is concluded that the exchange involved in mate selection must be very complex and that the major exchange theories of mate selection probably underestimate the influence of highly variable needs, preferences and tastes.
Scholars have long been interested in exchange and matching (assortative mating) in romantic partner selection. But many analyses of exchange, particularly those that examine beauty and socioeconomic status, fail to control for partners’ tendency to match each other on these traits. Because desirable traits in mates are positively correlated between partners and within individuals, ignoring matching may exaggerate evidence of cross-trait beauty-status exchange. Moreover, many prior analyses assume a gendered exchange in which women trade beauty for men’s status, without testing whether men might use handsomeness to attract higher-status women. Nor have prior analyses fully investigated how the prevalence of beauty-status exchange varies between different types of couples. I use data from the National Longitudinal Study of Adolescent Health Romantic Pair Sample, a large (N = 1,507), nationally representative probability sample of dating, cohabiting, and married couples, to investigate how often romantic partners exchange physical attractiveness and socioeconomic status, net of matching on these traits. I find that controlling for matching eliminates nearly all evidence of beauty-status exchange. The discussion focuses on the contexts in which beauty-status exchange is most likely and on implications these results have for market-based and sociobiological theories of partner selection.
Using information on first marriages from wave one of the National Survey of Families and Households, I form indicators of birth cohort and paternal education for wives, and then construct a four-way cross-classification table including husband's education, wife's education, wife's birth cohort, and wife's paternal education. The resulting table is examined using Quasi-Independence and Crossing Parameter models of association, and fitted parameters describing the extent of educational homogamy and intermarriage implied by this table are presented. Then similar cohort and paternal education indicators are formed for husbands and a second four-way table is constructed, which incorporates the same husband and wife education indicators. Identical analyses are carried out, resulting in a second set of homogamy and intermarriage parameters. Since husband and wife's educations do not change across the two tables and their birth cohorts are similar, it follows that any differences in the two sets of parameters are largely the result of differences in the effects of the two paternal education indicators. I show that the effect of paternal education on homogamy and intermarriage varies by gender, in such a way that wives appear to benefit more from added inputs of paternal education than do husbands. I argue as a result that inherited educational status may play a more important role in determining daughters' eventual marital outcomes.
Ca semble plutôt être l'éducation qui permettrait de se marier à quelqu'un d'une classe sociale plus élevée.
trotter - posté le 07/01/2025 à 21:24:53. (10977 messages postés) -
Vous battez pas, faites donc cette liste :
Citation:
Dresse-moi donc la looongue liste des choses qui ne sont raisonnablement pas trouvables sans soluce.
Ca sera fun, on parlera du jeu, de nos expériences dessus etc.
fWt : sauter pour briser la toile d'araignée
moi : ne pas comprendre que le Kokiri ne nous bloquait plus la sortie du village une fois l'arbre Mojo mort et m'entêter à croire que la sortie du village est dans les bois perdus (j'étais jeune).
le comte à rebours, traverser le couloir en silence, la 0g, la super potion, le boss final, le vaisseau minier et sa partie détachable, les anneaux de la planète etc
quand je pense que j'ai lu des critiques "moui ça reprend beaucoup de scène des premiers Alien" non mais oh !!! si on est fan hardcore sans doute.
"Les traits masculins et féminins stéréotypés ont été trouvés en interrogeant 100 étudiants de premier cycle de l'université Stanford sur les traits qu'ils jugeaient socialement souhaitables pour chaque sexe"
Donc si on demandait à 100 étudiants à 10.000km de Stanford on aurait peut être une liste de traits différents.
trotter - posté le 04/01/2025 à 12:29:00. (10977 messages postés) -
Lünn a dit:
Ma présence ici vient de l'envie d'aider des personnes qui aimeraient être en couple ou avoir une aventure. Car les mécaniques sociales me passionnent depuis des années, y compris la séduction.
Si ça les intéresse vraiment ils vont essayer plusieurs fois, sûrement se prendre des murs, essayer de trouver pourquoi et avancer. Il faut que la demande de conseil viennent d'eux, après qu'ils aient eu une dose de réalité et commencent à remettre en question le conditionnement.
Après quelques murs une ou plusieurs choses peuvent se passer :
-ils vont laisser tomber la recherche de partenaire.
-se remettre en question et chercher des réponses (et tomber sur des contenus plus ou moins bons).
-se lâcher, s'affirmer sans filtre (et bizarrement ça marche mieux que de jouer à être consensuel et marcher sur des oeufs)
-devenir hyper aigris contre les femmes.
D'ailleurs à tout prendre je préfère quelqu'un qui me dit "tes conseils c'est de la merde, je vais essayer par moi même !!" plutôt qu'un qui applique bêtement. Même si c'est frustrant à regarder.
Et puis, si se trouve, c'est moi qui ai tort.
trotter - posté le 02/01/2025 à 20:11:42. (10977 messages postés) -
Quelle tristesse ce Gunnm, je me suis forcé aussi j'ai pas réussi.
Princesse Puncheuse / May I Ask for One Final Thing? C'est une noble super forte physiquement, avec des super pouvoirs magiques, et plein de beaux mecs lui tournent autour (elle les envoie chier).
C'est pas mal, sympa et rigolo mais c'est un peu "facile". "On dirait que je serais la plus belle la plus jolie la plus intelligente la plus forte la plus désirée la plus gentille etc".
Reincarnation Coliseum C'est limite du hentai, un geek super doué en jeux vidéo qui devient gladiateur dans un autre monde avec un pouvoir pourri. Il arrive à gagner ses matchs en retournant les situations et exploitant des "glitchs" et se fait petit à petit un harem. Pas mal, moins bien que Princesse Puncheuse.
Back form Isekai Un héros qui a passé quelques années dans un isekai et a combattu le grand méchant revient dans notre monde en ayant conservé tous ses pouvoirs. Bizarrement l'intrigue n'est pas trop concentré sur lui mais sur une de ses camarades de classe qui est une sorte d'exorciste qu'il va aider. Ca se lit mais c'est un peu confus et ya un côté harem+je suis le plus fort+école un peu fatiguant.
trotter - posté le 02/01/2025 à 19:29:28. (10977 messages postés) -
Certaines personnes essaient de dominer l'autre dans le couple :
"Si tu ne fais pas telle chose, tu ne m'aimes pas vraiment/n'est pas un vrai féministe (attention Ddken)/un vrai homme/t'es une mauvaise épouse". Ca peut aussi être très subtil et progressif : petits ordres, petites moqueries, rendre dépendant, rendre la personne moche...
Celui qui obéit pour être aimé n'y gagne souvent rien car on aime rarement une loque obéissante.
Citation:
Globalement c'est quand je les insulte pour rire (de la taquinerie donc) ou quand je réponds pas aux messages, que je dis être déçu (dans la taquinerie toujours), etc.
Perso une fois en couple c'est l'exagération qui marche bien : mon UNIQUE activité du week end a été de penser tendrement à elle / j'adooore écouter le son de sa voix (quand elle me raconte sa journée osef avec ses copines) c'est comme une source cristalline mêlée de miel dans mes oreilles / la seule chose que je veux manger c'est elle / il fera forcément beau demain car elle est toujours rayonnante etc.
Ce n'est pas la mettre sur un piédestal car c'est tellement exagéré et ridicule, c'est marrant, et ça fait quand même plaisir et donne de bonnes vibes. C'est souvent mieux que de répondre factuellement.
J'ai remarqué que beaucoup d'anciens font ça, par exemple au boulot, certains vieux profitent quasi systématiquement qu'on leur pose une question pour faire une blague.
Citation:
C'est pas les hommes qui m'ont appris ça mais les femmes. Celles qui voulaient se mettre en couple avec moi ou qui me faisaient des déclarations, c'est celles dont j'en avais rien à faire. Par contre dès que je me sentais un peu écrasé dans la relation, en étant trop gentil, bah là je me faisais larguer.
Ya un proverbe chinois sur le sujet, en spoiler pour que les japonisants et les sinophiles puisse s'amuser à trouver : 男人不坏,女人不爱
Mais à mon avis c'est pas une question d'être méchant mais plutôt :
-de ne pas obéir.
-de ne pas faire de sa femme sa priorité.
-ne pas avoir besoin d'elle.
-d'avoir une vie à côté de son couple.
-rester attirant pour les autres femmes.
Un seul de ces points peut suffire à se faire traiter de méchant remarque.
Mais quel format utiliser pour délimiter la question de la réponse ? Pourquoi "### Instruction:" et pas "[INS]" ou "QUESTION" ? C'est arbitraire. Chaque compagnie a sa petite idée.
Un LLM marchera quand même si on utilise pas le bon format, mais moins bien.
Ca se configure ici dans LM studio ainsi que dans "template" :
trotter - posté le 31/12/2024 à 06:28:55. (10977 messages postés) -
Elementaires
Le trailer est nul, il laisse penser que c'est un film à gag ou basé sur les éléments alors que pas du tout. Un film suivant une fille d'une famille d'immigrés qui a travaillé dur pour s'intégrer, sur le racisme, sur l'acceptation de nos émotions etc. Le fait que ça soit une ville avec des éléments est très secondaire.
Mais, également :
c'est une énième histoire avec une ado incomprise par ses parents qui va faire un truc en cachette parce que ces gros débiles peuvent pas comprendre PUIS un truc va mal se passer PUIS ils vont découvrir le pot aux roses. PUIS ils vont la gronder, mais il va y avoir un gros événement avec un danger qui va permettre au personnage principal d'illustrer son courage, PUIS les parents vont devenir un peu moins demeurés et vont comprendre leur enfant et tout est bien qui finit bien.
Mais j'ai bien aimé. Le héros masculin est obéissant/pleurnichard, ça surprend au début.
Jamais plus
Un drame familiale sur la violence domestique, un peu trop téléphoné, simpliste où l'héroïne a deux prétendants : un mec riche charmeur agressif et un autre gentil un peu autiste. Ca raconte pas grand chose au final, ça pourrait durer 40min.
Toy Story 4
C'est pas mal mais j'ai trouvé que l'histoire manquait un peu d'enjeu, l'impression de voir un téléfilm/direct-vidéo. C'est peut être un film nécessaire pour clore l'histoire de Woody cependant.
J'ai trouvé les caractères de Woody et surtout Buzz un peu bizarre cependant. Buzz est très, très débile et assez inutile alors que dans le précédent c'était pas le cas. C'est plutôt la copine de Woody, Bo Peep qui mène la danse.
I Believe
Film romantique/un peu n'importe quoi type Shaolin Soccer. Un gars qui apporte du malheur à toutes les filles avec qui il est. L'héroïne avec qui il fricote va donc crouler sous la malchance, jusqu'à ce qu'une solution soit trouvée, peut être. Pas mal. Il se passe plein de choses, c'est assez léger, je le reverrai bien.
Quiz Lady
Trailer très pourri également (le film est plutôt lent en fait).
C'est super drôle et touchant, une soeur timide/une soeur exhubérante qui vont devoir participer à un quiz pour résoudre un problème. J'ai adoré, c'était excellent, je veux absolument le revoir.
Harold et le Crayon Magique
Plutôt sympa, des acteurs avec une énergie positive (dans Shazam l'acteur avait l'air un peu débile, ici ça va mieux), avec un méchant pas si méchant. C'est très basique, assez simple, un côté un peu cheap parfois mais assez charmant pour que j'excuse tout ça.
Par contre c'est une énième histoire avec une personne ado incomprise par ses parents qui va faire un truc en cachette parce que ces gros débiles peuvent pas comprendre PUIS un truc va mal se passer PUIS ils vont découvrir le pot aux roses. PUIS ils vont la gronder, mais il va y avoir un gros événement avec un danger qui va permettre au personnage principal d'illustrer son courage, PUIS les parents vont devenir un peu moins demeurés et vont comprendre leur enfant et tout est bien qui finit bien.
The Prosecutor
Donnie Yen en a marre d'arrêter des gens qui sont relâchés tout de suite, maintenant il devient procureur pour défendre les gentils accusés et taper sur les méchants pif paf pouf. Il a pas trop compris le concept du métier mais c'est pas grave c'est spectaculaire, bourrin, en plus ça va vite, toutes les parties d’enquêtes etc sont résumées pour qu'on ait encore plus d'action. Scène d'action en ouverture assez ouf avec un passage en vue à la première personne. Chouettes combats qui durent longtemps. Faut accepter qu'un gars puisse en vaincre 50 autres à mains nues par contre.
-ils font s'accoupler un petit mâle+une femelle impubère. Puis, quand vient la puberté, avec un grand mâle. ---> ça fait des petits enfants. La taille du dernier mâle est ignorée.
-ils font s'accoupler un grand mâle+une femelle. Puis, avec un petit mâle. ----> ça fait des grands enfants. La taille du petit mâle est ignoré.