trotter - posté le 22/07/2013 à 23:40:14. (10750 messages postés) -
En ce moment je regarde Orphan Black, c'est l'histoire d'une orpheline en galère qui assiste au suicide d'une meuf qui lui ressemble comme deux gouttes d'eau. Elle lui pique ses affaires et se fait passer pour elle pour lui piquer du fric mais elle va vite se rendre compte que c'était sans doute pas une super idée en fait. C'était sa clone et c'est pas la seule.
trotter - posté le 20/07/2013 à 09:54:05. (10750 messages postés) -
Citation:
Non, je pense pas que ce soit "légal", c'est genre considéré comme une arme de sixième catégorie et tu peux la transporter que si elle est pas immédiatement utilisable (donc inutile en cas d'autodéfense), de plus, faut pas non plus la montrer...
Cet article stipule que, pour être détenus sur soi, les générateurs d'aérosols lacrymogène ou incapacitants à base de CS (orthochlorobenzylidène) doivent :
être concentrés à moins de 2% de CS,
avoir un remplissage inférieur à 100 ml,
avoir un débit instantané de valve inférieur à 60 g/s mesuré sous une température atmosphérique de 20°.
Mais bon, peut être que celles-ci sont légales parce qu'elles sont aussi piquantes que de la compote de pomme.
trotter - posté le 20/07/2013 à 00:58:24. (10750 messages postés) -
-Quel est votre genre de musique?
Electro/Abstract Hip Hop/Lounge/Pop/Rock/Easy listening
-Que pensez-vous de la musique populaire d'aujourd'hui (David Guetta, Nicki Minaj, Sexion d'Assaut par exemple)?
David Guetta j'aime bien. Pas fan des deux autres.
trotter - posté le 19/07/2013 à 21:51:30. (10750 messages postés) -
En ce moment on cherche des apparts, sur une trentaine d'appel/mails, 5 mails du type :
mail 1 a dit:
je viens de rejoindre ma femme sur Londres pour une durée indéterminée raison pour laquelle je mets en location mon appartement, mais je vise plutôt l’entretien de celui-ci durant mon absence (j’ai deux appartements et je vais m'installer dans le second lors de notre retour). C’est ce qui explique d’ailleurs le loyer à un prix abordable de 460 Euros le mois (charges comprises). Je désire le louer à une personne de bonne moralité et ayant les moyens de respecter les échéances du loyer.
mail 2 a dit:
L'appartement est très propre comme sur les photos; avec possibilité de déplacer les meubles dans la cave si cela vous gène.Je désire louer à une personne de bonne moralité et ayant les moyens de respecter les échéances du loyer.L’appartement je l’avais acheté pour ma fille mais il est parti s’installé en Espagne avec son mari qui es un espagnol. La raison de cette éventuelle location est de ne pas laisser l'appartement vide et non entretenu vu que ma fille s'est marié et que je vie actuellement sur ROUBAIX dans le cadre de mon travail.
Le premier j'ai répondu, il m'a demandé :
Citation:
vous irez faire le dépôt des (920 euro) à la poste en MANDAT CASH URGENT. Si vous n'avez jamais utilisé cette procédure, rassurez-vous. Il s'agit d'un nouveau système de transaction très fiable et sécurise mise en place par la poste afin de garantir les deux parties. Ceci ne veut pas dire que vous allez nous envoyer de l'argent avant qu'ont ne vienne vous faire visiter l'appartement NON!!, C'est juste un Dépôt à la Banque Postale histoire de nous Garantie votre Envie de louer l'appartement et que vous aviez les moyens de le louer.
trotter - posté le 18/07/2013 à 22:16:02. (10750 messages postés) -
Moi je kiffe ça :
Sinon j'aime bien les histoires de Donald/Mickey, autant voir plus que les comics.
Ah et puis j'aime bien regarder Secret Story et les Anges de la téléréalité, ah, j'ai honte, oh mon dieu, comme j'ai honte. A chaque fois je purge mon esprit en regardant des documentaires chiants comme la mort genre le dessous des cartes pour compenser alors que j'en ai rien à branler de la situation de pays où j'irais jamais et des analyses géopolitiques qui me font au mieux réaliser mon impuissance face à un monde déprimant.
D'ailleurs ils sont chiants TF1 avec leur player qui pue la merde, c'est chiant pour Secret Story, heureusement que des gens bien les mettent sur youtube.
On est jamais tranquilles, je sais pas ce que c'est de vivre dans un endroit où t'as pas à te méfier tout le temps, on est jamais sereins, on sait ce qu'on risque et on sait qui craindre et pourquoi
Problèmes de pauvreté, des quartiers qui craignent yen a toujours eu malheureusement, tu devrais bouger
trotter - posté le 18/07/2013 à 11:13:07. (10750 messages postés) -
Citation:
Vous savez que le Quidditch est un truc inventé par Rowling uniquement pour mettre son harry en sauveur surdoué de Hoggwart ?
Et donc, que le game design présenté dans les livres et les films est complètement à la rue et impossible à implémenter dans un jeu sans le modifier en profondeur ?
trotter - posté le 18/07/2013 à 09:27:15. (10750 messages postés) -
Sylvanor a dit:
Mais c'est l'extrême droite qui gagne des voix, pas l'extrême gauche. Le Front de gauche a fait un score correct aux présidentielles, mais pas mirobolant du tout. Le Front de gauche n'est pas vraiment d'extrême gauche, d'ailleurs, c'est plutôt ce qu'on qualifierait de parti radical de gauche.
Cf mon post précent sur le montée de l'extrême droite.
L'extrême gauche a gagnée des voix depuis 2007 :
Extrême gauche en 2007 : 8.66
Extrême gauche en 2012 : 12.81
......revenant à son niveau de 2002, un peu comme l'extrême droite.
trotter - posté le 15/07/2013 à 23:32:53. (10750 messages postés) -
Je kiffe à mort, comme le premier, toutes ces possibilités que tu offres
Quand on a le tuto de la vieille Gisèle avec le "?" qui nous explique qu'il faut équiper l'objet, une fois qu'il nous dit "ben c'était pas dur", on a le son de déplacement dans le menu de conversation en appuyant sur les touches droite et gauche.
J'ai essayé de relancer le tuto et j'ai eu un bug bloquant : impossible d'équiper l'objet bidule car il n'est pas dans l'inventaire.
En même temps j'ai fais un live mais euh
Tout au début du live ya le bug bloquant et des gens qui parlent tous en même temps, c'est un peu le bordel.
trotter - posté le 15/07/2013 à 01:10:38. (10750 messages postés) -
Si si t'avais raison, je parlais du 1er screen, j'ai trop quoté, le dernier c'est T4C effectivement : )
(T4C, la bonne époque sur GOA à attendre 2 heures dans la file d'attente... en 56k.)
Citation:
Alors que j'ai un autre pote qui m'en fait souvent l'éloge.
Perso j'ai pas trop aimé mais j'ai jamais accroché non plus à Baldur's Gate ou Planescape alors bon... Je suis trop casual.
trotter - posté le 14/07/2013 à 21:33:58. (10750 messages postés) -
Citation:
Il s'avère malheureusement que l'atmosphère autour des étoiles est plus chaude que leur surface. Mais bon.
Pour les étoiles à neutrons je suis pas sûr que ça soit le cas, c'est quand même des étoiles assez spéciales. wiki fr : "n'a d'étoile que le nom : il n'est plus le siège de réactions nucléaires, et sa structure est radicalement différente de celle d'une étoile ordinaire. "
L'auteur est scientifique avant d'être écrivain :
Robert L. Forward (Robert Lull Forward, August 15, 1932 – September 21, 2002) was an American physicist and science fiction writer. His literary work was noted for its scientific credibility and use of ideas developed from his career as an aerospace engineer.
Citation:
c'est... Magnifique.
Vers la fin du livre ya une rencontre extraterrestres/humain, c'est marrant sachant que ces extraterrestres vivent un millions de fois plus vite que les humains et font quelques millimètres.
Enfin bon en tout cas ça change des extraterrestres humanoïdes : D
Citation:
Je viens de regarder la scène finale pour voir, le film étant un tel ratage cinématographique qu'il s'agirait d'une perte de temps de le faire en entier, et je voit pas trop en quoi elle est bien, voire même mieux... C'est une fin bateau de film adapté d'un comic pour adolescent rebelle et empli d'inculture pour le 7ème art, qui amène à une suite et à d'autres films pour faire des sous, point barre.
À cinquante années-lumière du système solaire, il était une fois une étoile double. L’une était dans sa phase blanc-jaune normale, mais l’autre s’était boursouflée jusqu’à devenir une géante rouge qui engloutissait les planètes environnantes. Cinquante ans exactement avant que Buu fût victime de sa curiosité, le combustible nucléaire de la géante rouge s’épuisa. L’extinction de sa centrale à fusion l’ayant privée de l’énergie dont elle avait besoin pour résister à sa propre gravité, l’étoile s’effondra. Sous la terrible pression gravitationnelle, la matière attirée vers le centre vit sa densité augmenter et se réduisit bientôt presque uniquement à des neutrons, pressés de plus en plus fort les uns contre les autres jusqu’à être entassés rayon à rayon.
Ainsi à l’étroit, les puissantes forces de répulsion nucléaire purent enfin résister à la pression gravitationnelle. L’afflux de matière vers le centre s’inversa rapidement, et ce mouvement d’expansion se transforma en une onde de choc incandescente qui traversa l’écorce de la géante rouge. À la surface, l’onde de choc fit sauter les couches externes en une explosion de supernova qui libéra plus d’énergie en une heure que l’étoile n’en avait irradiée en un million d’années.
Au-dessous du nuage grossissant de plasma embrasé, le noyau de la géante rouge avait changé. Ce qui avait été autrefois un gros ballon animé d’une lente rotation, deux cents fois plus volumineux que le soleil, était devenu maintenant une minuscule boule chauffée à blanc de vingt kilomètres de diamètre, constituée de neutrons ultra-denses et tournant sur elle-même à plus de mille tours par seconde.
Le champ magnétique originel de l’étoile était resté prisonnier à l’intérieur du nuage, hautement conducteur, de matière stellaire en cours d’effondrement. Tout comme la configuration des taches de l’étoile originelle, le champ magnétique n’était pas aligné sur l’axe de rotation de l’étoile à neutrons mais s’en écartait presque à angle droit. L’un des pôles magnétiques, très concentré, se situait un peu au-dessus de l’équateur. L’autre, constitué en fait d’un groupe de pôles, se trouvait du côté opposé de l’étoile. Une partie de sa configuration complexe se dessinait au-dessous de l’équateur, mais la plus grande partie intéressait l’hémisphère nord.
Les champs magnétiques presque palpables d’un billion de gauss émergeant des deux pôles de l’étoile tourbillonnante effilochèrent les débris incandescents de l’explosion de la supernova. Mus par la rotation rapide de la sphère ultra-dense, les champs magnétiques projetèrent les énormes nuages d’ions loin de l’étoile sous forme de gouttes scintillantes. Pareille à un soleil de feu d’artifice détaché de son support, l’étoile à neutrons prit de la vitesse en direction du sud, tout droit vers son proche voisin Sol, laissant derrière elle le sillage incandescent de son hélice magnétique. Peu de temps après, la densité du plasma diminua et l’effet de fusée s’interrompit, mais l’étoile avait acquis à ce moment la vitesse respectable de trente kilomètres par seconde, soit une année-lumière tous les dix mille ans. C’était une minuscule vagabonde lancée imprudemment à travers les voies stellaires de la galaxie.
Date : 495 000 av. J.-C.
Tandis que l’étoile à neutrons tournoyait à travers l’espace, son champ gravitationnel attirait toutes sortes de débris. Arrivés à quelques milliers de kilomètres de cette boule de vingt kilomètres de diamètre, les matériaux interstellaires étaient chauffés et dépouillés de leurs électrons par l’intense gravité et les champs magnétiques tourbillonnants. Le plasma ionisé tombait alors en gouttes allongées vers l’étoile, atteignant une vitesse égale à trente-neuf pour cent de celle de la lumière avant de heurter l’écorce dans les régions des pôles magnétiques. La surface ainsi bombardée réagissait par des projections de particules chargées qui jaillissaient dans l’espace, prenant de la vitesse et irradiant des impulsions d’énergie radioélectrique fouettées vers l’espace par les lignes du champ magnétique tournoyant.
Date : 3000 av. J.-C.
Voyageant à son allure tranquille d’une année-lumière tous les dix mille ans, l’étoile à neutrons commençait à se rapprocher du système solaire.
Malgré sa chaleur plusieurs fois supérieure à celle du Soleil, ce n’était pas une boule de gaz. Le champ gravitationnel de soixante-sept milliards de g en avait compressé la matière incandescente en une sphère solide recouverte d’une épaisse écorce de noyaux atomiques riches en neutrons, disposés en un réseau cristallin compact au-dessus d’un noyau central très dense de neutrons liquides. Avec le temps, l’étoile se refroidit et se contracta. L’écorce compacte se fractura, donnant naissance à des montagnes et à des failles. La plupart des reliefs ne dépassaient pas quelques millimètres de haut, mais les chaînes de montagnes les plus importantes s’élevaient à près de dix centimètres et leurs sommets pointaient hors de l’atmosphère de vapeur de fer. Les plus hautes montagnes se situaient aux pôles est et ouest, vers lesquels les lignes de force du champ magnétique dirigeaient la plupart des météorites qui tombaient sur l’étoile.
Depuis sa naissance, la température de l’étoile s’était abaissée. Les noyaux atomiques riches en neutrons de l’écorce cristalline incandescente pouvaient maintenant former des composés nucléaires de plus en plus complexes. Ces composés faisant appel aux interactions nucléaires fortes au lieu des interactions électromagnétiques faibles utilisées sur Terre, ils fonctionnaient à des vitesses nucléaires au lieu de vitesses moléculaires. Des millions de combinaisons chimiques nucléaires étaient ainsi testées chaque microseconde, alors que quelques-unes seulement l’étaient dans le même temps sur Terre. Finalement, en un fatidique billionième de seconde, il se forma un composé nucléaire doté de deux très importantes propriétés : il était stable, et il était capable de produire une copie de lui-même, de se reproduire.
La vie était apparue sur la croûte de l’étoile à neutrons.
Toujours invisible à l’œil humain, l’étoile à neutrons chauffée à blanc continuait à se rapprocher du système solaire. Tandis que la surface commençait à se refroidir dans l’étroite gamme des températures les plus favorables à la vie nucléonique, la molécule autoreproductrice originelle se diversifia et devint plus complexe. La rivalité pour l’appropriation des molécules inertes plus simples qui servaient de nourriture crût en intensité. La manne primordiale qui avait autrefois recouvert l’écorce eut bientôt disparu, faisant place à des masses de cellules affamées. Certaines masses de cellules se rendirent compte que la température de leur face supérieure, tournée vers le ciel froid et obscur, était constamment plus basse que celle de leur face inférieure, en contact avec l’écorce incandescente. Elles élevèrent une calotte de peau éloignée de la surface et eurent bientôt établi un cycle efficace de synthèse alimentaire grâce au moteur thermique aménagé entre le pivot rigide enfoncé loin dans l’écorce brûlante et la calotte plus fraîche qui les surplombait.
La calotte, une merveille de technogénie, faisait appel à des cristaux rigides enrobés de fibres super-résistantes pour former une ossature de travées en encorbellement soutenant la fine peau supérieure contre l’attraction du champ gravitationnel de soixante-sept milliards de g. Cette structure ne permettait pas évidemment à la plante de soulever très haut sa face supérieure. Chacune d’elles pouvait avoir jusqu’à cinq millimètres de diamètre, mais sa calotte ne dépassait pas un millimètre de hauteur.
Ces calottes et leur armature porteuse rigidifiaient les plantes et leur imposaient de rester là où elles étaient enracinées. Pendant de très nombreuses rotations de l’étoile, rien ne bougeait à part un jet occasionnel de pollen à l’extrémité de l’encorbellement d’une plante, suivi de la contraction d’un clapet à l’extrémité d’une plante voisine. De nombreux tours plus tard, cette action était suivie de la chute d’une cosse mûre que faisaient rouler au loin les vents perpétuels.
Un tour, une cosse en roulant alla se briser contre une aspérité de l’écorce. Les graines s’éparpillèrent et plusieurs d’entre elles se mirent à croître. L’une, plus vigoureuse que les autres, éleva bientôt sa calotte au-dessus de celles de ses frères et sœurs plus lents. Suffoqués par la chaleur qu’irradiaient l’étoile au-dessous et la face inférieure de leur congénère au-dessus, la plupart des jeunes plants moins favorisés périrent.
L’un d’eux, cependant, subit une étrange transformation alors que ses fonctions physiologiques commençaient à défaillir. Il comportait une enzyme mutante dont la fonction normale était de fabriquer et réparer l’ossature qui supportait la calotte. Sous l’influence des processus désorganisés de la chimie nucléonique d’un organisme agonisant, l’enzyme se dérégla, dissolvant l’armature cristalline qu’elle avait pour tâche de protéger. La plante, transformée en un sac plein de sucs et de fibres, glissa au long de la pente douce jusqu’à une nouvelle position d’équilibre. Les douze pulvérisateurs de pollen, légèrement photosensibles afin d’assurer à la calotte la meilleure orientation possible, se déplacèrent peu à peu vers le sommet. Maintenant que l’organisme avait échappé à la calotte étouffante de son voisin, l’enzyme fautive revint dans le droit chemin. La plante enfonça des racines dans le sol, rebâtit sa calotte, puis entreprit d’envoyer et de recevoir de nombreux jets de pollen. La plante mobile eut de nombreux rejetons, dont tous avaient le pouvoir de dissoudre leur ossature rigide et de se déplacer si les conditions n’étaient pas favorables à une croissance optimale.
Les premiers animaux sillonnèrent bientôt la surface de l’étoile à neutrons, dérobant des cosses de graines à leurs cousins immobiles et découvrant que l’étoile recelait de nombreuses choses bonnes à manger – en particulier leurs semblables.
Comme les plantes dont ils descendaient, les animaux de l’étoile à neutrons avaient environ cinq millimètres de diamètre mais, dépourvus d’ossature rigide, se trouvaient aplatis par la pesanteur. Les douze pulvérisateurs de pollen photosensibles à clapets devinrent des yeux tout en conservant leur fonction reproductrice originelle. Les animaux pouvaient former des « os » à volonté. La plupart du temps, il s’agissait de formes altérées des poutres en cantilever qu’ils utilisaient pour hausser leurs yeux afin de voir plus loin ; mais il leur était possible, avec un peu de concentration, de former un os n’importe où à l’intérieur du sac de peau. La qualité de ces os se ressentait cependant de la rapidité de leur formation : ils n’étaient constitués que de sucs internes cristallisés et ne contenaient pas les fibres encastrées qui faisaient la solidité de l’ossature des plantes. Ce processus aurait demandé trop de temps.
Contrairement aux plantes, les animaux devaient lutter contre le champ magnétique de l’étoile. Les plantes ne se déplaçant pas, il leur importait peu d’être étirées en une longue ellipse alignée sur les lignes de force du champ magnétique. Le corps des animaux était lui aussi étiré en une ellipse, mais leurs yeux étant étirés proportionnellement, ils n’avaient pas conscience de cette distorsion. Ils découvrirent néanmoins qu’il était beaucoup plus difficile de se déplacer en travers des lignes de champ que de les longer. La plupart abandonnèrent leurs efforts. Pour eux, le monde était virtuellement unidimensionnel, les seules directions faciles à suivre étant « l’est » et « l’ouest » – vers les pôles magnétiques.
Au bout d’un temps assez long, toute la surface de l’étoile à neutrons fut peuplée de plantes et d’animaux. Certains des animaux les plus éveillés levaient parfois les yeux vers le ciel obscur en se demandant ce qu’étaient les points lumineux qu’ils voyaient se déplacer lentement à travers les ténèbres à mesure que l’étoile à neutrons tournait sur elle-même. Les animaux de l’hémisphère sud étaient particulièrement intrigués par le point de lumière très intense qui demeurait fixe au-dessus du pôle sud. C’était le soleil de la Terre, si brillant et si proche qu’il ne scintillait pas comme les autres taches lumineuses. Mais à part le fait que l’étrange lumière constituait un repère de navigation pratique qui venait s’ajouter à leur sens de la direction magnétique, aucun animal ne s’y intéressa outre mesure. Les animaux plus petits et les plantes qui croissaient à profusion leur fournissaient une nourriture abondante. Un animal n’a aucun besoin de développer sa curiosité ni son intelligence s’il n’est pas confronté à des problèmes qui réclament une solution.
J'ai vraiment kiffé ce bouquin, j'en parle dans le topic des livres.
Bon après ça a été écrit ya plus de 30 ans donc ya ptet des erreurs. Mais c'est cool.
il passe la moitié du film à galérer sans armure alors qu'à la fin on voit qu'il en avait 50 à sa disposition ?
Citation:
Déjà, il faut arrêter avec la vie sur Europe, ok y'a peut être un océan sous-terrain, mais cet océan se trouve à 8km de profondeur. Limite de la vie bactériologique je veux bien mais des vrais extra-terrestres, capable de tuer un équipage... j'ai du mal à y croire. D'autant qu'il n'y a pas d'atmosphère sur cette lune.
C'est dommage de se limiter aux environnements et aux formes de vies qui ressemblent à ce qu'on a sur terre. Le bouquin "Dragon's Egg" décrit de façon assez réaliste l'apparition de la vie sur une étoile à neutron.
trotter - posté le 13/07/2013 à 21:44:58. (10750 messages postés) -
J'ai pas enregistré parce que ça discutait sur le chat en même temps et qu'on a été voir des sites un peu limite.
"Qui aime les jeux d'infiltration ?
-Personne. Ou les gens qui jouent à Rapelay.
-C'est quoi ce jeu ? Ah... Ah ok."
Et puis après j'ai diffusé un film donc bon. Je voulais même pas t'en parler, c'était pas très sérieux comme test.
Criket s'est amusée à compter mes game-overs, je devais en avoir plus de 50. Je suis nul à ce genre de jeu.
Citation:
Trotter, tu avais compris que les parcours (changer de case, changer de direction) étaient pré-déterminés ? Si ce n'est pas le cas, Kilam, il faudrait faire que le joueur le sache.
Oui j'avais compris.
Citation:
Sur le radar, le champ de vision montré est de huit cases ? Si non, il faudrait !
Non : (
C'est de 8 cases quand on est pas en espace découvert, mais plus de 8 quand on est en espace découvert, la logique est un peu étrange mais bon.
trotter - posté le 13/07/2013 à 12:52:20. (10750 messages postés) -
Citation:
Beaucoup fustigent les opérations d'Obama qui utilise des drones. Pourtant, ces drones minimisent grandement les erreurs humaines et les dépenses américaines, comme je l'ai lu dans un article détaillé il y a quelques moi. En quoi est-ce si négatif?
C'est souvent pointé du doigt parce que ça déshumanise le combat.
"l'opérateur, loin du théâtre, ne perd-il pas le sens de la réalité du conflit, lui qui ne le vit qu'au travers de caméras, avec le risque de confondre cette réalité et une forme de jeu vidéo ? Par ailleurs, l'opérateur de drone armé peut-il être encore considéré comme un combattant, alors même qu'il ne met pas sa vie en danger tout en ayant la possibilité de donner la mort ?"
Pour éviter ça, l'armée française force les opérateurs des drones à être présent sur le théâtre des opérations. Je trouve plus la source, je crois que j'avais vu ça à la télé.
trotter - posté le 13/07/2013 à 11:27:39. (10750 messages postés) -
Oui c'est très soigné par contre j'ai trouvé la carte numéro 4 et pas la porte numéro 4.
Les game over c'est surtout quand les gardes peuvent nous voir malgré qu'on ne soit pas encore dans leur champ de vision. Parfois ils peuvent nous voir à 10 pas, parfois à 5, c'est pas clair à ce niveau là.