GeckoEssence -
posté le 13/07/2013 à 23:55:46 (10274 messages postés)
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La caméra à l'épaule a encore de beaux jours devant elle, avec le récent V/H/S pour nous le prouver. Tant que c'est justifié et que ça sert l'intérêt du réalisateur et du spectateur, moi je ne dis pas non.
Mais là y a rien de bien palpitant. Le lieu, je pense que ça parle au férus d'astronomie, mais dans le cadre du cinéma, c'est pas tant ça qui va décider de la qualité ni de l'intérêt du film.
Ddken > T'es vraiment sérieux là ? Ou tu penses qu'on est tous bêtes à manger du foin ?
Suite du sujet:
trotter -
posté le 14/07/2013 à 02:10:13 (10752 messages postés)
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il passe la moitié du film à galérer sans armure alors qu'à la fin on voit qu'il en avait 50 à sa disposition ?
Citation:
Déjà, il faut arrêter avec la vie sur Europe, ok y'a peut être un océan sous-terrain, mais cet océan se trouve à 8km de profondeur. Limite de la vie bactériologique je veux bien mais des vrais extra-terrestres, capable de tuer un équipage... j'ai du mal à y croire. D'autant qu'il n'y a pas d'atmosphère sur cette lune.
C'est dommage de se limiter aux environnements et aux formes de vies qui ressemblent à ce qu'on a sur terre. Le bouquin "Dragon's Egg" décrit de façon assez réaliste l'apparition de la vie sur une étoile à neutron.
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yuri -
posté le 14/07/2013 à 06:07:26 (3801 messages postés)
Jor-el étant scientifique, il s'en doutai pour les pouvoirs
Zod ne l'était pas, mais il en savait sur la gravité. Et puis aucun kryptonien n'a été surpris de l'augmentation de ses pouvoirs sur Terre.
Oui, Zod était bien renseigné, je l'ai bien aimé comme méchant.
Et les kryptoniens ont tous l'air de savoir qu'ils seront plus puissants.
Jor-el en parle à Supes en disant qu'il ne s'attendait à le voir si puissant.
Bref, mis à part la scène brutale de la fin, (mais juste parce que je n'aime pas voir ça ) tout était bien.
Zack a encore fait un bon film à mon sens.
Du coup, je vais re-regarder Suker Punch...(qui a fait un certain flop mais j'ai kiffé!!! les scènes d'action sont déments! )
Je me sens sournoise aujourd'hui, hystérique, abominable, agressive, enfin bref...insupportable!!
Nova_Proxima -
posté le 14/07/2013 à 11:46:21 (3718 messages postés)
Non, cette histoire d'amure c'est juste ce qu'il arrive quand la cohérence et le besoin de faire une grosse scène d'action final se rencontrent, la cohérence est mise KO.
Quand t'as 50 armures à disposition, t'as pas besoin d'effet de surprise.
Quand t'as 50 armures à disposition, tu passe pas à 2 doigts de te faire tuer et de laisser mourir des gens autour de toi pour "l'effet de surprise".
Il est où l'effet de surprise d'ailleurs quand les armures arrivent sans aucune discrétion et foncent au corps à corps contre des mecs dont c'est le point fort.
Et c'est en total contradiction avec les crises d'angoise de Tony, qui "omg need une armure, je fait mourir, je fais une crise... je vais surtout pas appeler l'une des 50 que j'ai à disposition par sécurité".
Donc non, ça ne s'explique que d'une seule façon, fallait une grosse baston final POINT
trotter -
posté le 14/07/2013 à 12:13:18 (10752 messages postés)
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Citation:
Citation:
se limiter aux environnements et aux formes de vies qui ressemblent à ce qu'on a sur terre
Je me suis fait la même réflexion. Mais
Citation:
Le bouquin "Dragon's Egg" décrit de façon assez réaliste l'apparition de la vie sur une étoile à neutron.
À cinquante années-lumière du système solaire, il était une fois une étoile double. L’une était dans sa phase blanc-jaune normale, mais l’autre s’était boursouflée jusqu’à devenir une géante rouge qui engloutissait les planètes environnantes. Cinquante ans exactement avant que Buu fût victime de sa curiosité, le combustible nucléaire de la géante rouge s’épuisa. L’extinction de sa centrale à fusion l’ayant privée de l’énergie dont elle avait besoin pour résister à sa propre gravité, l’étoile s’effondra. Sous la terrible pression gravitationnelle, la matière attirée vers le centre vit sa densité augmenter et se réduisit bientôt presque uniquement à des neutrons, pressés de plus en plus fort les uns contre les autres jusqu’à être entassés rayon à rayon.
Ainsi à l’étroit, les puissantes forces de répulsion nucléaire purent enfin résister à la pression gravitationnelle. L’afflux de matière vers le centre s’inversa rapidement, et ce mouvement d’expansion se transforma en une onde de choc incandescente qui traversa l’écorce de la géante rouge. À la surface, l’onde de choc fit sauter les couches externes en une explosion de supernova qui libéra plus d’énergie en une heure que l’étoile n’en avait irradiée en un million d’années.
Au-dessous du nuage grossissant de plasma embrasé, le noyau de la géante rouge avait changé. Ce qui avait été autrefois un gros ballon animé d’une lente rotation, deux cents fois plus volumineux que le soleil, était devenu maintenant une minuscule boule chauffée à blanc de vingt kilomètres de diamètre, constituée de neutrons ultra-denses et tournant sur elle-même à plus de mille tours par seconde.
Le champ magnétique originel de l’étoile était resté prisonnier à l’intérieur du nuage, hautement conducteur, de matière stellaire en cours d’effondrement. Tout comme la configuration des taches de l’étoile originelle, le champ magnétique n’était pas aligné sur l’axe de rotation de l’étoile à neutrons mais s’en écartait presque à angle droit. L’un des pôles magnétiques, très concentré, se situait un peu au-dessus de l’équateur. L’autre, constitué en fait d’un groupe de pôles, se trouvait du côté opposé de l’étoile. Une partie de sa configuration complexe se dessinait au-dessous de l’équateur, mais la plus grande partie intéressait l’hémisphère nord.
Les champs magnétiques presque palpables d’un billion de gauss émergeant des deux pôles de l’étoile tourbillonnante effilochèrent les débris incandescents de l’explosion de la supernova. Mus par la rotation rapide de la sphère ultra-dense, les champs magnétiques projetèrent les énormes nuages d’ions loin de l’étoile sous forme de gouttes scintillantes. Pareille à un soleil de feu d’artifice détaché de son support, l’étoile à neutrons prit de la vitesse en direction du sud, tout droit vers son proche voisin Sol, laissant derrière elle le sillage incandescent de son hélice magnétique. Peu de temps après, la densité du plasma diminua et l’effet de fusée s’interrompit, mais l’étoile avait acquis à ce moment la vitesse respectable de trente kilomètres par seconde, soit une année-lumière tous les dix mille ans. C’était une minuscule vagabonde lancée imprudemment à travers les voies stellaires de la galaxie.
Date : 495 000 av. J.-C.
Tandis que l’étoile à neutrons tournoyait à travers l’espace, son champ gravitationnel attirait toutes sortes de débris. Arrivés à quelques milliers de kilomètres de cette boule de vingt kilomètres de diamètre, les matériaux interstellaires étaient chauffés et dépouillés de leurs électrons par l’intense gravité et les champs magnétiques tourbillonnants. Le plasma ionisé tombait alors en gouttes allongées vers l’étoile, atteignant une vitesse égale à trente-neuf pour cent de celle de la lumière avant de heurter l’écorce dans les régions des pôles magnétiques. La surface ainsi bombardée réagissait par des projections de particules chargées qui jaillissaient dans l’espace, prenant de la vitesse et irradiant des impulsions d’énergie radioélectrique fouettées vers l’espace par les lignes du champ magnétique tournoyant.
Date : 3000 av. J.-C.
Voyageant à son allure tranquille d’une année-lumière tous les dix mille ans, l’étoile à neutrons commençait à se rapprocher du système solaire.
Malgré sa chaleur plusieurs fois supérieure à celle du Soleil, ce n’était pas une boule de gaz. Le champ gravitationnel de soixante-sept milliards de g en avait compressé la matière incandescente en une sphère solide recouverte d’une épaisse écorce de noyaux atomiques riches en neutrons, disposés en un réseau cristallin compact au-dessus d’un noyau central très dense de neutrons liquides. Avec le temps, l’étoile se refroidit et se contracta. L’écorce compacte se fractura, donnant naissance à des montagnes et à des failles. La plupart des reliefs ne dépassaient pas quelques millimètres de haut, mais les chaînes de montagnes les plus importantes s’élevaient à près de dix centimètres et leurs sommets pointaient hors de l’atmosphère de vapeur de fer. Les plus hautes montagnes se situaient aux pôles est et ouest, vers lesquels les lignes de force du champ magnétique dirigeaient la plupart des météorites qui tombaient sur l’étoile.
Depuis sa naissance, la température de l’étoile s’était abaissée. Les noyaux atomiques riches en neutrons de l’écorce cristalline incandescente pouvaient maintenant former des composés nucléaires de plus en plus complexes. Ces composés faisant appel aux interactions nucléaires fortes au lieu des interactions électromagnétiques faibles utilisées sur Terre, ils fonctionnaient à des vitesses nucléaires au lieu de vitesses moléculaires. Des millions de combinaisons chimiques nucléaires étaient ainsi testées chaque microseconde, alors que quelques-unes seulement l’étaient dans le même temps sur Terre. Finalement, en un fatidique billionième de seconde, il se forma un composé nucléaire doté de deux très importantes propriétés : il était stable, et il était capable de produire une copie de lui-même, de se reproduire.
La vie était apparue sur la croûte de l’étoile à neutrons.
Toujours invisible à l’œil humain, l’étoile à neutrons chauffée à blanc continuait à se rapprocher du système solaire. Tandis que la surface commençait à se refroidir dans l’étroite gamme des températures les plus favorables à la vie nucléonique, la molécule autoreproductrice originelle se diversifia et devint plus complexe. La rivalité pour l’appropriation des molécules inertes plus simples qui servaient de nourriture crût en intensité. La manne primordiale qui avait autrefois recouvert l’écorce eut bientôt disparu, faisant place à des masses de cellules affamées. Certaines masses de cellules se rendirent compte que la température de leur face supérieure, tournée vers le ciel froid et obscur, était constamment plus basse que celle de leur face inférieure, en contact avec l’écorce incandescente. Elles élevèrent une calotte de peau éloignée de la surface et eurent bientôt établi un cycle efficace de synthèse alimentaire grâce au moteur thermique aménagé entre le pivot rigide enfoncé loin dans l’écorce brûlante et la calotte plus fraîche qui les surplombait.
La calotte, une merveille de technogénie, faisait appel à des cristaux rigides enrobés de fibres super-résistantes pour former une ossature de travées en encorbellement soutenant la fine peau supérieure contre l’attraction du champ gravitationnel de soixante-sept milliards de g. Cette structure ne permettait pas évidemment à la plante de soulever très haut sa face supérieure. Chacune d’elles pouvait avoir jusqu’à cinq millimètres de diamètre, mais sa calotte ne dépassait pas un millimètre de hauteur.
Ces calottes et leur armature porteuse rigidifiaient les plantes et leur imposaient de rester là où elles étaient enracinées. Pendant de très nombreuses rotations de l’étoile, rien ne bougeait à part un jet occasionnel de pollen à l’extrémité de l’encorbellement d’une plante, suivi de la contraction d’un clapet à l’extrémité d’une plante voisine. De nombreux tours plus tard, cette action était suivie de la chute d’une cosse mûre que faisaient rouler au loin les vents perpétuels.
Un tour, une cosse en roulant alla se briser contre une aspérité de l’écorce. Les graines s’éparpillèrent et plusieurs d’entre elles se mirent à croître. L’une, plus vigoureuse que les autres, éleva bientôt sa calotte au-dessus de celles de ses frères et sœurs plus lents. Suffoqués par la chaleur qu’irradiaient l’étoile au-dessous et la face inférieure de leur congénère au-dessus, la plupart des jeunes plants moins favorisés périrent.
L’un d’eux, cependant, subit une étrange transformation alors que ses fonctions physiologiques commençaient à défaillir. Il comportait une enzyme mutante dont la fonction normale était de fabriquer et réparer l’ossature qui supportait la calotte. Sous l’influence des processus désorganisés de la chimie nucléonique d’un organisme agonisant, l’enzyme se dérégla, dissolvant l’armature cristalline qu’elle avait pour tâche de protéger. La plante, transformée en un sac plein de sucs et de fibres, glissa au long de la pente douce jusqu’à une nouvelle position d’équilibre. Les douze pulvérisateurs de pollen, légèrement photosensibles afin d’assurer à la calotte la meilleure orientation possible, se déplacèrent peu à peu vers le sommet. Maintenant que l’organisme avait échappé à la calotte étouffante de son voisin, l’enzyme fautive revint dans le droit chemin. La plante enfonça des racines dans le sol, rebâtit sa calotte, puis entreprit d’envoyer et de recevoir de nombreux jets de pollen. La plante mobile eut de nombreux rejetons, dont tous avaient le pouvoir de dissoudre leur ossature rigide et de se déplacer si les conditions n’étaient pas favorables à une croissance optimale.
Les premiers animaux sillonnèrent bientôt la surface de l’étoile à neutrons, dérobant des cosses de graines à leurs cousins immobiles et découvrant que l’étoile recelait de nombreuses choses bonnes à manger – en particulier leurs semblables.
Comme les plantes dont ils descendaient, les animaux de l’étoile à neutrons avaient environ cinq millimètres de diamètre mais, dépourvus d’ossature rigide, se trouvaient aplatis par la pesanteur. Les douze pulvérisateurs de pollen photosensibles à clapets devinrent des yeux tout en conservant leur fonction reproductrice originelle. Les animaux pouvaient former des « os » à volonté. La plupart du temps, il s’agissait de formes altérées des poutres en cantilever qu’ils utilisaient pour hausser leurs yeux afin de voir plus loin ; mais il leur était possible, avec un peu de concentration, de former un os n’importe où à l’intérieur du sac de peau. La qualité de ces os se ressentait cependant de la rapidité de leur formation : ils n’étaient constitués que de sucs internes cristallisés et ne contenaient pas les fibres encastrées qui faisaient la solidité de l’ossature des plantes. Ce processus aurait demandé trop de temps.
Contrairement aux plantes, les animaux devaient lutter contre le champ magnétique de l’étoile. Les plantes ne se déplaçant pas, il leur importait peu d’être étirées en une longue ellipse alignée sur les lignes de force du champ magnétique. Le corps des animaux était lui aussi étiré en une ellipse, mais leurs yeux étant étirés proportionnellement, ils n’avaient pas conscience de cette distorsion. Ils découvrirent néanmoins qu’il était beaucoup plus difficile de se déplacer en travers des lignes de champ que de les longer. La plupart abandonnèrent leurs efforts. Pour eux, le monde était virtuellement unidimensionnel, les seules directions faciles à suivre étant « l’est » et « l’ouest » – vers les pôles magnétiques.
Au bout d’un temps assez long, toute la surface de l’étoile à neutrons fut peuplée de plantes et d’animaux. Certains des animaux les plus éveillés levaient parfois les yeux vers le ciel obscur en se demandant ce qu’étaient les points lumineux qu’ils voyaient se déplacer lentement à travers les ténèbres à mesure que l’étoile à neutrons tournait sur elle-même. Les animaux de l’hémisphère sud étaient particulièrement intrigués par le point de lumière très intense qui demeurait fixe au-dessus du pôle sud. C’était le soleil de la Terre, si brillant et si proche qu’il ne scintillait pas comme les autres taches lumineuses. Mais à part le fait que l’étrange lumière constituait un repère de navigation pratique qui venait s’ajouter à leur sens de la direction magnétique, aucun animal ne s’y intéressa outre mesure. Les animaux plus petits et les plantes qui croissaient à profusion leur fournissaient une nourriture abondante. Un animal n’a aucun besoin de développer sa curiosité ni son intelligence s’il n’est pas confronté à des problèmes qui réclament une solution.
J'ai vraiment kiffé ce bouquin, j'en parle dans le topic des livres.
Bon après ça a été écrit ya plus de 30 ans donc ya ptet des erreurs. Mais c'est cool.
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GeckoEssence -
posté le 14/07/2013 à 12:39:40 (10274 messages postés)
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Nova > Je suis partiellement d'accord, mais je pense que dans une logique quelconque, il faut prendre en compte l'ego de Stark. Autant utiliser le dernier modèle, super fiable,plus tôt qu'un vieux modèle Mak 1 ou 2 qui est peut-être déchargé, sans mises à jour et moins puissant. Certes, ça n'empêche pas de s'en servir en cas de crise, mais je en suis même pas sûr que ça ai pu remonter la qualité du film, foncièrement mauvais et mal écrit.
Jenkins -
posté le 14/07/2013 à 14:04:26 (3379 messages postés)
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Trotter >
Il a l'air très intéressant ce bouquin.
Mais ça reste de la fantaisie. Les étoiles à neutron, ça fait parti des choses les plus dangereuses de l'univers.
Et pour en revenir à Europe. J'ai du mal à croire à une forme de vie évoluée dans un océan caché sous une couche de glace de 8km d'épaisseur.
Mais c'est que mon avis.
Jenkins -
posté le 14/07/2013 à 20:35:06 (3379 messages postés)
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Reste que je suis plus enthousiaste quand à la vie sur Encelade (l'une des lunes de Saturne).
Mais même, dans notre système solaire, j'ai du mal à imaginer une forme de vie plus évoluée que le stade bactériologique autre part que sur notre bonne vieille planète bleue.
Après j'ai peut être tort, et à vrais dire, j'aimerais bien avoir tort.
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Pour en revenir au sujet initial de ce topic, n'oubliez pas que c'est bientôt la sortie du dernier épisode de la meilleure trilogie britannique de ce début de 21e siècle : Blood and Ice Cream.
Ce troisième épisode parodiera les films catastrophes :
Perso, j'ai pas encore regardé le trailer, je veux pas me spoiler.
Au passage, si vous n'avez pas vu les deux premiers films (Shaun of the Dead et Hot Fuzz),
je vous demanderais de courir face au mur le plus proche.
Nova_Proxima -
posté le 14/07/2013 à 21:12:51 (3718 messages postés)
il faut prendre en compte l'ego de Stark. Autant utiliser le dernier modèle, super fiable,plus tôt qu'un vieux modèle Mak 1 ou 2 qui est peut-être déchargé, sans mises à jour et moins puissant.
Super fiable ? Le modèle super fiable qui décollait pas quand il en a eu besoin ? Le modèle super fiable non armé ? Le modèle super fiable qui vide sa batterie pendant un trajet à travers les USA alors que le premier modèle faisait des trajets moyen-orient=>USA sans soucis ?
Le seul avantage de la dernière armure était ses parties indépendantes, c'est tout, c'est gadget et ça ne sert pas à grand chose à par pour la classe que ça a.
Dans le pire des cas il prenait le modèle 49, ou 48, allez soyons fou, 47, mais même la première reste plus puissante que.... que de se balader sans armure.
Des armures moins puissantes il en enfile une bonne dizaine à la fin
Toujours coté puissance, il se fait carrément des outils "à usage unique" pour pénétrer dans le repère du mérovingien et cette histoire de "puissance d'équipement" (qui pour le coup est ras les pâquerette) ne le dérange pas non plus ici.
Quand il a ses crises d'angoisse il ne se dit pas "Omg need mon armure dernière en date", mais juste "need une armure, n'importe laquelle, je me sens sans défense".
C'est objectivement une erreur de cohérence parce qu'il fallait un scène finale qui tienne la comparaison avec celle des Avengers (mission failed).
GeckoEssence -
posté le 14/07/2013 à 21:31:20 (10274 messages postés)
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Oui, on est d'accord, c'est stupide mais c'est une explication qu'on peut tout de même entrevoir. Après, que la dernière soit un fail, c'est un peu con. Mais le film m'a tellement peu marqué que franchement, j'en ai peu de souvenirs.
Citation:
un scène finale qui tienne la comparaison avec celle des Avengers
Je viens de regarder la scène finale pour voir, le film étant un tel ratage cinématographique qu'il s'agirait d'une perte de temps de le faire en entier, et je voit pas trop en quoi elle est bien, voire même mieux... C'est une fin bateau de film adapté d'un comic pour adolescent rebelle et empli d'inculture pour le 7ème art, qui amène à une suite et à d'autres films pour faire des sous, point barre.
Un peu comme la dernière séquence de Dark Knight Rises, mais là on avait un film excellent bien que spoilé en grande partie du moment qu'on avait une certaine culture de l'homme chauve-souris (ne serait ce que pour Cotillard qui joue Talia...)
Ddken > Je mets une balise spoiler si je spoile, ça tombe j'ai rien dit sur le film.
Jenkins > Ca me rappelle un peu le pitch de départ de H2G2 en un sens, avec la fin du monde imminente. Mais je sais pas si ça va être cool ou pas, Shaun of the dead était sympa, Hot Fuzz aussi mais avec Pegg je préfère un film comme Big Nothing, pus absurde, satyrique et gratuit. Même plus rigolo par moments.
trotter -
posté le 14/07/2013 à 21:33:58 (10752 messages postés)
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Citation:
Il s'avère malheureusement que l'atmosphère autour des étoiles est plus chaude que leur surface. Mais bon.
Pour les étoiles à neutrons je suis pas sûr que ça soit le cas, c'est quand même des étoiles assez spéciales. wiki fr : "n'a d'étoile que le nom : il n'est plus le siège de réactions nucléaires, et sa structure est radicalement différente de celle d'une étoile ordinaire. "
L'auteur est scientifique avant d'être écrivain :
Robert L. Forward (Robert Lull Forward, August 15, 1932 – September 21, 2002) was an American physicist and science fiction writer. His literary work was noted for its scientific credibility and use of ideas developed from his career as an aerospace engineer.
Citation:
c'est... Magnifique.
Vers la fin du livre ya une rencontre extraterrestres/humain, c'est marrant sachant que ces extraterrestres vivent un millions de fois plus vite que les humains et font quelques millimètres.
Enfin bon en tout cas ça change des extraterrestres humanoïdes : D
Citation:
Je viens de regarder la scène finale pour voir, le film étant un tel ratage cinématographique qu'il s'agirait d'une perte de temps de le faire en entier, et je voit pas trop en quoi elle est bien, voire même mieux... C'est une fin bateau de film adapté d'un comic pour adolescent rebelle et empli d'inculture pour le 7ème art, qui amène à une suite et à d'autres films pour faire des sous, point barre.
En plus l'action reste bien lisible et c'est plein d'humour.
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Falco -
posté le 15/07/2013 à 10:37:14 (19785 messages postés)
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Indie game Developer
Avengers il est juste énorme ce film, une vrai réussite, je vois absolument pas comment on peut critiquer ce film.
C'est ultra fidèle aux Marvel, encore plus que les films de super héros sortis indépendamment (Whedon est un gros fan de l'univers Marvel, et ça se ressens), y'a énormément d'action on en prends pleins les yeux, avec aussi de l'humour à la Joss Whedon.
Bref, c'est une énorme réussite, c'est normal qu'il a obtenu que des bonnes critiques.
Après si pour certains un bon film de super héros c'est forcément du torturé, sombre et réfléchis à la Nolan... effectivement, c'est pas l'esprit de ce film.
Nova_Proxima -
posté le 15/07/2013 à 14:55:35 (3718 messages postés)
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Neo_Sephiroth
Na mais ...
Citation:
Je viens de regarder la scène finale pour voir, le film étant un tel ratage cinématographique qu'il s'agirait d'une perte de temps de le faire en entier
"J'ai pas vu le film, mais c'est un ratage, je le sais parce que deux lignes plus loin je parle de culture cinématographique et que je place 7ième art dans la conversation".
J'espère me tromper.
GeckoEssence -
posté le 15/07/2013 à 18:48:15 (10274 messages postés)
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En effet, j'ai pris la peine de commencer le film, et j'ai abandonné au bout de 45 bonnes minutes.
C'est simple : à part Downey Jr. qui reste potable, les autres acteurs jouent comme des pieds. A croire qu'on a cherché à viser un public pré-pubère en oubliant complètement les fans de cinéma et de super héros.
Un exemple inverse des films de Nolan mais qui a une recette sympa, c'est Kick-Ass. Certainement pas le film du siècle, mais une très bonne adaptation d'un comic plus sanglant à l'origine histoire que tout le monde en profite, y compris les petits enfants (au cinéma, s'entend). Donc oui, Whedon est une bille qui a certes réalisé une des meilleurs séries fantastiques avec Buffy, mais entre ça et le combo Avengers + La Cabane Dans Les Bois, y a un sacré gouffre culturel.
Hors super héros mais dans le même genre, Scott Pilgrim est une adaptation correcte qui n'a pas besoin d'être fidèle au comic originel, et qui n'a aucune autre prétention que de divertir.
Donc oui, Avengers est un film de super héros bateau, pas cherché pour un sou qui se repose sur quelques effets en post prod et les précédents films de Marvel.
Kenetec -
posté le 16/07/2013 à 18:38:47 (13041 messages postés)
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~°~
Jenkins a dit:
Pour en revenir au sujet initial de ce topic, n'oubliez pas que c'est bientôt la sortie du dernier épisode de la meilleure trilogie britannique de ce début de 21e siècle : Blood and Ice Cream.
Ce troisième épisode parodiera les films catastrophes :
Perso, j'ai pas encore regardé le trailer, je veux pas me spoiler.
Au passage, si vous n'avez pas vu les deux premiers films (Shaun of the Dead et Hot Fuzz),
je vous demanderais de courir face au mur le plus proche.
Je connaissais pas, mais les deux premiers sont tellement cultes que celui là je suis obligé de le voir !
Par contre ce genre de Film c'est VO obligatoire, donc je risque d'attendre la sortie DVD quoi.
Jenkins -
posté le 16/07/2013 à 19:44:35 (3379 messages postés)
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Perso je pense le voir en VF au ciné si il y est pas en VOSTFR.
Et après je le prendrais en DVD.
GeckoEssence -
posté le 16/07/2013 à 23:58:56 (10274 messages postés)
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Y a pas de ciné qui font des films en Vo chez toi Kenetex ? Souvent les petites salles le proposent, on ne sait jamais.
J'ai vu Monstres Academy aujourd'hui, c'était agréable; Certes, ça vole plus bas que les meilleurs PIXAR (qui se sont pour moi arrêtés à Wall-E) mais ça vaut le coup d'oeil. Les références au premier sont cools, l'humour est toujours là malgré la plupart des scènes et blagues téléphonées.
Seul point noir : la 3D inutile, comme d'habitude. Un peu dommage mais bon, tant pis hein.
Et demain, y a PACIFIC RIM qui sort !!!
Ces trois points d'exclamation signifient beaucoup pour moi.
trucbiduleII -
posté le 17/07/2013 à 12:52:39 (815 messages postés)
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'tention, spoiler :
Citation:
- La fin... Alfred qui pleure alors qu'il sait Bruce en vie? S'il ne le savait pas, alors elle était plutôt expressive, sa stupéfaction de le voir vivant...
Bah, ce sont des larmes de joie ... 'fin ça m'avait pas du tout paru incohérent quand je l'ai vu en tous cas.
Jenkins -
posté le 17/07/2013 à 15:13:22 (3379 messages postés)
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Citation:
- La fin... Alfred qui pleure alors qu'il sait Bruce en vie? S'il ne le savait pas, alors elle était plutôt expressive, sa stupéfaction de le voir vivant...
Le vrais soucis dans cette scène, c'est qu'on aurait pas du voir Bruce à la fin, juste Alfred qui le salue de la tête. Ça aurait été tellement magique.
Ayop -
posté le 17/07/2013 à 15:32:07 (847 messages postés)
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Ddken a dit:
Mon dieu, comment le réalisateur a pu laisser passer ça?
Etant donné que c'est Nolan le metteur en scène, on peut en déduire que c'est lui-même qui a demandé à Cotillard de jouer comme ça.
Sinon Pacific Rim, ouais c'est clair que ça m’intéresse, mais je pense que ça va me décevoir plus qu'autre chose, un pressentiment. J'espère que ce sera pas le cas, mais une adaptation américaine de choses issues de la culture japonaise, on a déjà pu constater que ça marchait pas. Alors on peut toujours laisser le bénéfice du doute parce que c'est tenu par Del Toro, n'empêche qu'il me semble que ce n'est pas son domaine de prédilection l'action/science fiction (= Hellboy 1 et 2 étaient bien merdique).
Sinon, vous avez oublié de parler de World War Z là ! Et bien vous avez bien fait, je l'ai vu hier et franchement, rien d'incroyable. Le film n'est pas mauvais, mais il est aussi loin (très loin) d'être bon. L'histoire est tellement bidon, on a l'impression d'être pris pour des débiles mentales du début à la fin. C'est simple, les tenants et aboutissants du film sont déductibles au bout de trente minutes sur deux heures. En fait y se passe plein de trucs à l'écran, mais il se passe rien niveau scénaristique. L'histoire n'avance pas, ça stagne et on se fait vite chier avec cette pseudo enquête inutile qui au final ne sert que de prétexte à changer de décor. De plus les effets spéciaux sont vraiment à chier.
GeckoEssence -
posté le 17/07/2013 à 18:50:47 (10274 messages postés)
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Citation:
On n'explique nullement comment Bane s'est constitué toute sa petite armée de kamikazes (il est allé les chercher où?????)
Dingue, pour le Joker avant c'était pareil dis donc... Et encore plus dingue, rien n'explique sa volonté de destruction si on se cantonne au film. Rhalala, ce Nolan, qu'i lest tête en l'air parfois
Des fois tu dis des bons trucs, mais là non.
Même pour la dernière scène, annoncée dès le début, Caine joue bien. Il pleure effectivement des larmes de joie, mêlées à de la tristesse puisqu'il n'a plus trop de raison d'être (vu qu'il sert les Wayne depuis des années, le changement est brutal) ce qui correspond à son expression à ce moment.
La mort de Cotillard implique aussi un mauvais directeur derrière, y a pas que sa performance qui est à remettre en cause, et ils ont probablement gardé la moins pire au montage final.
Le scénario est monstrueux, qu'on soit fan ou pas de l'univers de Batman. De plus, si la plupart des moments se prédisent assez vite dès lors qu'on a pris la peine de regarder les précédents opus pour se faire à ce cinéma, avec tout de même des retournements sympas. Le mieux restant de le regarder avec une certaine culture de l'univers de Batman.
Protip : tu devrais revoir le film et en profiter pour regarder les autres oeuvres de Nolan. Et même regarder des films en fait, ça serait plutôt pas mal.
Les faux raccords sont présents, en effet. Comme dans tous les films quoi. Prends Watchmen et on verra lequel des deux est le mieux monté
Et vivement Pacific Rim.
GeckoEssence -
posté le 17/07/2013 à 22:32:09 (10274 messages postés)
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Ne pas aimer le Batman de Nolan est une chose, mais utiliser de mauvaises références pour contredire un argument en est une autre. Bonjour Wiki et la pauvre vidéo Youtube. Mais j'ai pas envie de t'inviter à te bouger pour ça, parce qu'en peu de temps on peut en savoir pas mal sur les versions de Batman et ses différentes adaptations en comic ou autre.
Citation:
Bah si c'est la moins pire, ça veut dire qu'ils l'ont reprise maintes fois mais qu'ils n'ont pas eu le choix de prendre celle-là. En d'autres termes, c'est elle seule et son mauvais jeu qui sont responsables non?
Non, justement. Parce qu'un acteur il n'est pas seul, il a un directeur artistique derrière lui qui lui dit "essaye de jouer comme ci, fait comme ça, etc...". Donc non, ses performances ne sont pas à remettre à 100 % en cause, d'autant plus qu'elle joue plutôt bien au vu du gros cast auquel elle s'est frottée.
Citation:
Pas vraiment. Ses sbires au moins étaient doués d'un cerveau. C'était encore excusable. Mais pour ceux de Bane...
Bon baj, t'es bon pour te refaire aussi Dark Knight, les hommes de main de chaque bat-vilain ayant quasiment tous le même potentiel intellectuel, Joker ou Bane.
Pour en revenir à Batman, je ne vois pas où tu as pu constater une faiblesse physique en dehors du début (logique, il a passé pas mal de temps enfermé à ne rien faire). Il est super badass, bourrin comme il faut et même si le côté détective n'est peut-être pas assez présent, tous les aspects de Batman sont abordés. Nolan a réalisé une excellente adaptation de Batman, à la portée des fans et des néophytes.
Citation:
J'ai adoré Watchmen
Certes, mais il reste monté et filmé avec les pieds.
EDIT :
Le scénario, copié/collé ? Ils mettent un peu trop de drogues dans le poulet du KFC pour que tu sortes ça ou bien y a un truc que j'ai pas suivi ? Le déroulement a beau être classique, c'est super bien maîtrisé et la plupart des situations, bien que déjà vues, sont exploités avec assez d'inventivité pour nous offrir un spectacle relativement unique. Et après tu dis que les Iron Man sont géniaux, ben voyons. Désolé, mais t'arrives à t'enfoncer toi même sur ce coup là.
Citation:
Et franchement avec Nolan, on ne voit pas beaucoup les super héros...
Alors là, sérieusement, faudra me dire à quel moment tu ne le vois pas Batman... A part sur la fin, et les plans durant lesquels on ne le voit pas, mais tout est là. Que ce soit de manière physique ou au niveau de la psyché du personnage.
Tyroine -
posté le 18/07/2013 à 00:22:19 (10357 messages postés)
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Gaga de son chachat
Pacific Rim c'était super bien. Vraiment.
Épique
L'action est géniale, super lisible, démesurée et absolument dantesque. Et putain c'est hyper japonais dans l'esprit, y'a même des doublages en jap et des répliques qu'on croirait sorties de manga, c'était plutôt cool.
L'esprit japonais y est sans pour autant être complètement massacré par la compresse américaine, non franchement c'était du beau et grand spectacle.
Bonus en prime : la 3D est vraiment très bien gérée ! Y'a pas de pics passant de spectaculaire à bof, c'est "bien" et ça reste constant du début à la fin. Elle est même très agréable à l'oeil, c'est rare des films qui y parviennent, GI Joe 2 m'avait bousillé les yeux, là je suis sorti serein. Ces deux heures sont très bien passées, peu d'ennui.
Le scénar' est convenu et classique mais c'est le but. Les acteurs sont à peu près tous bons, j'ai été agréablement surpris d'entendre le doubleur d'Onizuka et l'actrice japonaise est SUPER MIGNONNE Toute l'esthétique globale des mechas aux monstres est superbe, bref un très bel hommage aux animes de mechas et à Godzilla.
Le 2 est confirmé, ça me laisse sceptique étant donné que l'histoire semblait unique et bouclée. On verra bien.
Aucun baiser ou aucune scène romantique à tendance sexuelle entre les deux protagonistes alors que les contextes s'y prêtaient vachement ! Même à la fin.